Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Iznogoud conseils

    Il y en a un qui essaie de tirer les leçons des bérézina subies par le PS : c’est Jérôme Iznogoud Safar, l’ex-premier adjoint grenoblois qui a presque cru devenir maire en mars 2014.

  • Ma passion pour moi-même

    Pour passer le temps en attendant une éventuelle « mission nationale » qu’il espère depuis trois ans, le toujours député Michel Destot a écrit un livre intitulé Ma passion pour Grenoble. Si le terme « livre » correspond à la forme de l’objet qui se vend pour quand même 22 euros, il est très éloigné du contenu, qui est en fait une compilation des billets de son blog. Comme le rédacteur de cette brève s’inflige la lecture de ce blog depuis plusieurs années, il a dû lutter pour ne pas (…)

  • Grenoble devant -Saint-Symphorien-sur-Coise !

    Classement débile, suite. Fin mai, le compte Twitter de la ville de Grenoble se vante : « #Grenoble 4e ville la plus active sur Twitter en mai ! ».

  • La noix d’honneur....

    …est attribuée, à la limite du hors-jeu, à César Puente Rodriguez, le président du GF38.

  • Recyclage neutronique

    Le poste de directeur de la communication (ou plutôt « head of communications » comme on dit) du Synchrotron (l’anneau que l’on voit sur la Presqu’ile scientifique) est sympa. On y est payé 5 000 euros par mois. Claus Habfast y était tranquille, mais a dû quitter le poste une fois élu au conseil municipal. Heureusement, la place n’a pas été perdue pour tout le monde : elle a été récupérée par une certaine Delphine Chenevier.

  • Le CEA brûle l’argent public

    Le samedi 25 avril, un petit incendie se déclare dans une salle blanche du CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives) et est rapidement éteint. Aussitôt, c’est la mobilisation générale pour essayer de réparer les dégâts.

  • Une grosse tuile et les déceptions s’empilent

    D’ordinaire Le Postillon ne parle jamais de « culture », avec ou sans grand Q, réservant, en grand prince, ce domaine au sac à pub local Le Petit Bulletin. Si pour une fois on plonge dans ce panier de crabes, c’est parce qu’il s’avère qu’au bout d’un an, la municipalité d’Éric Piolle a réalisé une très grande performance : se brouiller avec une bonne partie des « cultureux » grenoblois, public pourtant largement sympathisant de la mouvance rouge-vert et heureux du changement de municipalité. Alors que des festivals disparaissent, que des sympathisants de Piolle sont de plus en plus déçus par la politique culturelle mise en place, les élus mettent le paquet sur des farces participatives ou sur une grande opération de communication appelée « Journée des Tuiles ».

  • Le « début de la Révolution » ou une « journée honteuse pour la ville » ?

    Pour faire gagner les municipales à Eric Piolle, le communicant Erwan Lecoeur (devenu depuis directeur de la communication municipale) a beaucoup insisté sur l’importance de « faire un récit » (voir Le Postillon n°26). Tout bon « récit », s’appuie sur un événement historique : Lecoeur et Piolle ont choisi la Journée des Tuiles de 1788 à Grenoble. Selon leurs dires elle « marque le début de la Révolution Française ». L’engagement n°18 d’Eric Piolle promettait de « créer une fête de la Journée des Tuiles », une « fête pour la démocratie dans le monde entier » ; et – c’est assez rare pour être signalé – cet engagement a été tenu : la première édition de cette « Fête des Tuiles » va avoir lieu les 6 et 7 Juin prochains.

  • J’ai rencontré #Ceuxquifont (de la merde)

    À Grenoble, des lieux permettent vraiment de voyager. Aujourd’hui, je vous propose de partir à la découverte de l’esprit « Silicon Valley ». Ce que j’appelle l’esprit « Silicon Valley », c’est d’avoir à la fois les dents de requin du businessman avide, et à la fois le sourire mièvre du jeune cool du XXIème siècle. De n’avoir aucun scrupules pour développer des nouvelles applications numériques ineptes dans le seul but de se faire de la thune, de n’avoir aucun complexe pour détourner de l’argent public, et en même temps de bien aimer tout ce qui est convivial, bio, solidaire, éco-responsable ou partagé. À Grenoble, un lieu incarne mieux que tout autre cet esprit guidant la marche du monde : c’est Cowork In Grenoble. Vous ne connaissez pas ? Allez, je vous fais visiter.

  • Le joueur d’échecs qui préfère se déguiser en cow-boy

    Faire la manche, c’est aussi une question de style : fabriquer un écriteau, s’adresser aux passants, leur sourire, personnaliser ses accroches, travailler plus ou moins, avec plus ou moins de créativité. Rencontre avec deux inventeurs de métier.