Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • L’huile de palme va-t-elle chauffer Grenoble ?

    De l’huile de palme pour faire tourner les centrales de chauffage ? On n’arrête pas le progrès, à Grenoble plus qu’ailleurs. La CCIAG (Compagnie de chauffage de Grenoble) a fait au mois de novembre une première expérimentation pour tester cette façon innovante de chauffer les chaumières. Le problème, c’est qu’en plus d’être innovant, le recours à ce combustible est potentiellement polémique.

  • Grenoble Playlist

    Les fêtes de fin d’année arrivent, Le Postillon a contacté les personnalités de la cuvette pour savoir ce qu’elles ont dans leur walkman. Si vous voulez récupérer une cassette, contactez la rédaction.

  • Docteur Éric et Mister Piolle

    Le 24 septembre dernier, Piolle a inauguré avenue Albert 1er de Belgique « Central Plaza », un programme de 52 logements vendus pour certains pour la modique somme de 4400 euros/m2 et réalisés par… BNP Paribas Immobilier Résidentiel. Comment Piolle-l’élu en est-il venu à couper le ruban, le sourire aux lèvres, avec ceux pour lesquels Piolle-le-candidat n’avaient pas de mots assez durs lorsqu’il dénonçait la « cherté du logement à Grenoble liée notamment à la préférence quasi-systématique donnée aux banques et aux grands promoteurs ».

  • André Vallini en promoteur de la dictature

    L’ancien président PS du département de l’Isère nous étonnera toujours. Le grand promoteur inutile ne cesse de repousser toujours plus loin les frontières des dégâts qu’il engendre. Dernièrement, c’est en… Azerbaïdjan qu’André Vallini est allé faire étalage de tout son nocif savoir-faire. Du 25 au 27 novembre dernier, en plein hommage national aux victimes des attentats du 13 novembre, Dédé s’est rendu à la capitale Bakou pour rencontrer le président de la République Ilham Aliyev, un grand démocrate élu avec 84 % des voix et des résultats annoncés… un jour avant l’élection.

  • Des grandes surfaces toujours plus grandes

    Fin octobre, des commerçants grenoblois ont mené une virulente campagne contre la municipalité, l’accusant de « tuer le petit commerce » avec ses projets d’autoroute à vélo ou de réduction de la place de la voiture. Pour une fois, les élus verts & rouges sont parvenus à communiquer habilement en assénant que le développement des grandes surfaces à l’extérieur des villes fait beaucoup plus de mal aux petits commerces que la politique qu’elle mène. Au Postillon, une fois n’est pas coutume, on est d’accord.

  • Girouette sécuritaire et déchéance de crédibilité

    C’est beau la politique. À quelques mois d’intervalle, on peut affirmer tout et son contraire. Suite aux attentats parisiens, l’encore député Michel Destot a applaudi des deux mains les décisions prises par le pouvoir socialiste et a même, sur son blog, « tenu à saluer le discours d’unité, de fermeté et de responsabilité prononcé par le Président de la République » devant le congrès à Versailles.

  • Quizz

    Qui a dit : « oui, j’appelle à la résistance citoyenne ! » ?

  • L’écologie de Piolle est une « opportunité de business »

    Vous vous souvenez de la polémique autour de la gestion de l’éclairage public de l’année dernière (voir Le Postillon n°28) ? À l’époque, les écolo-gauchistes expliquaient laborieusement que c’était regrettable que le marché aille à Vinci, mais que ce n’était pas leur faute vu que c’était le résultat de l’appel d’offres. Aujourd’hui, Eric Piolle explique qu’en fait, ça ne le dérange pas...

  • La guerre des gangs, c’était mieux avant ?

    Les journaux de l’époque l’avaient surnommé « le shérif ». En guise de Far West : les quais de l’Isère, la côte de Moirans et la route de Lyon, hauts lieux de la prostitution locale. Nommé juge d’instruction à Grenoble, en 1978, à tout juste 33 ans, Paul Weisbuch s’attaque d’entrée aux proxénètes du milieu italo-grenoblois. Pour contrer ces maniaques de la gâchette et adeptes des séances de torture, il s’appuie sur les témoignages accablants des prostituées, qui osent enfin briser l’omerta en vigueur depuis des décennies. « L’affaire des filles de Grenoble » défraye la chronique avec, en point d’orgue, les deux procès de février et juin 1980. Pour la première fois en France, des prostituées se constituent partie civile contre leurs souteneurs.

  • Faire dévier les faits divers

    Fusillades, meurtres, coups de couteaux, agressions, incendies : ces derniers mois à Grenoble, il y a eu presque autant de faits divers tragiques que d’articles sur Piolle dans la presse nationale. À chaque fois, ils sont surtout le prétexte aux mêmes types de commentaires, sur l’insécurité qui galope, les armes qui circulent, les drogues qui pullulent, les jeunes qui n’ont plus de valeurs, les caméras de vidéosurveillance qui manquent, et les rues qui ne sont plus sûres.