Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Boire ou conduire (un véhicule électrique), il va falloir choisir

    «  Pourquoi vous critiquez tant STMicro ? Au moins ça pollue moins que dans des pays sans norme...  » Et c’est vrai que la pollution locale de STMicro est une goutte d’eau dans l’océan de nuisances engendré par l’industrie de la transition numérique et de l’électrification générale. D’où l’importance de la contester, ici comme ailleurs.

  • La famille des enterrements

    « Salut à toi l’ami que je n’ai pas connu de ton vivant !  » Depuis quelques années, de curieux discours sont prononcés dans les cimetières isérois. Le collectif Morts de rue et personnes isolées a pour but d’accompagner toutes les personnes décédant sans aucun proche, de plus en plus nombreuses en France. Plongée dans les principes et les questionnements de cette démarche tentant de faire exister notre «  humanité commune  ».

  • Des journaux, pas des robots

    La presse papier locale est en plein chamboulement. Le Petit Bulletin vient de disparaître. Les journalistes du Daubé se battent contre un plan d’économies. L’intelligence artificielle va être testée dans des journaux du même groupe de presse pour « réécrire les papiers des correspondants ». Après avoir célébré la fuite en avant technologique à longueur de pages, les gratte-papiers se rendent compte avec effroi qu’ils font aussi partie des humains qui pourraient être remplacés par des robots. La direction du quotidien, elle, annonce clairement la couleur en organisant le Tech&Fest les 1 et 2 février prochain à Grenoble afin de permettre au «  meilleur de la tech française  » de «  célébrer l’innovation ». Quant à nous, on continue mordicus à pourfendre l’invasion des écrans et à défendre la presse papier et la vie réellement vécue.

  • Élu... Puis embauché !

    Après avoir été élu à Échirolles pendant 19 ans, notamment en tant qu’adjoint à l’aménagement urbain, Emmanuel Chumiatcher n’a plus de mandat depuis 2020. Mais comme il connaît vachement bien les dossiers, la Ville a eu la bonne idée de l’embaucher entre 2021 et 2022. Ce qui a un peu étonné la chambre régionale des comptes...

  • Apologie de la liberté d’expression

    C’est une nouvelle séquence dans la dystopie kafkaïenne actuelle, prenant de plus en plus souvent ses aises en France. Il y avait eu la séquence Covid, où toutes les personnes rétives ou simplement dubitatives à propos de l’obligation vaccinale étaient potentiellement catégorisées comme « complotistes » voire « eugénistes validistes » et même pourquoi pas « fascistes d’extrême-droite ». Il y a maintenant le conflit Israël Palestine où, après l’horrible attaque terrotiste du 7 octobre, toute personne dénonçant la colonisation et les actes du gouvernement israélien se voit potentiellement catégorisée comme « antisémite », « défendeur des terroristes » voire « militant pour la destruction de l’État d’Israël et l’éradication des Juifs ». Ainsi de la mésaventure vécue par l’élu échirollois Mohamed Makni, poursuivi pour « apologie du terrorisme  » pour des posts Facebook.

  • Bellevue... Plus pour longtemps

    Deux ans et demi après l’épisode 3 de notre feuilleton autour des antennes-relais, on replonge dans le sujet à l’occasion d’une polémique sur l’implantation d’une antenne 5G dans le petit village de Montchaboud, vers Vizille. Aujourd’hui, il n’est plus question de couvrir des « zones blanches », mais de saturer des endroits déjà « connectés ». Quitte à gâcher le peu de belle vue qu’il reste.

  • Qu’est ce qui pourrait sauver l’amour ?

    Si vous habitez vers Grenoble, vous avez certainement vu ces affiches « Festi’Drague Célibataires » le 11 novembre à Saint Laurent du Pont. Une affiche « à l’ancienne » pour une soirée « à l’ancienne », à l’heure des applis de rencontre et de drague en ligne. C’était beaucoup trop alléchant pour ne pas aller y faire un reportage. Notre envoyée spéciale y a notamment trouvé pas mal de chaleur humaine.

  • Censures non artificielles

    Si faire du subversif auprès des étudiants plaît à l’université qui a déjà phagocyté le principe des cours d’éco-n’importe-quoi aussi radicaux soient-ils (ça plaît, ça fait venir des élèves, c’est bon pour l’attractivité), faire du subversif en attaquant le portefeuille de la fac (comme refuser de répondre à un appel à projet cracra ou appeler à arrêter nos contrats avec des entreprises engagées dans le commerce abject de la mort) c’est le pas de trop. Récit de deux années d’attaque-défense entre notre mathématicien-chercheur en intelligence artificielle et les intérêts du Capital version université.

  • Enseignements de l’enquête publique

    Comme prévu (voir Le Postillon n°69), les commissaires enquêteurs ont rendu un avis « favorable » (quoiqu’accompagné d’importantes réserves et recommandations) à l’extension de STMicroelectronics. L’analyse des 340 contributions apporte néanmoins quelques éléments intéressants.

  • Féminisme-washing

    Comme toute boîte moderne qui se respecte, STMicroelectronics est censée être à la pointe du combat pour l’égalité hommes-femmes, s’associant à tous les « combats » œuvrant à féminiser les métiers de la « Tech » : « Technologies, pas sans elles » ; « Elles bougent » ; prix « Female Up » et « Comer Award »… Début novembre, on a pourtant appris que notre multinationale préférée a été condamnée par la cour d’appel de Grenoble pour « discrimination liée au sexe ». « La société spécialisée dans la fabrication de (...)

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