Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Qui veut adopter une start-up ?

    La com’, ça ose tout et c’est même à ça qu’on la reconnaît. La nouvelle campagne de communication d’Innovallée (zone d’activité économique implantée à Grenoble et Meylan), en partenariat avec le cabinet d’audit KPMG, répond au doux nom d’ « adopte une start-up ».

  • Lu ailleurs

    Dans le dernier numéro d’Article 11, formidable journal papier qui va bientôt mourir, un improbable reportage sur les « déserts dentaires » se retrouve à interroger Sylviane, ancienne bonne à tout faire chez la famille de Didier Migaud il y a une cinquantaine d’années. Cela permet d’apprendre un détail croustillant sur la personnalité de l’ancien député de l’Isère et président de la Métro.

  • L’agriculture et la forêt en voie de numérisation

    Claudine Chassagne est une caricature de cadre high-tech grenobloise. « Docteur-ingénieur en informatique (ENSIMAG, INPG), Claudine Chassagne a été directrice des systèmes d’information à l’université de Grenoble, puis au Conseil général de l’Isère.

  • Courrier des lecteurs

    Ce matin, je somnolais tranquillement dans le tram pour me rendre à mon boulot quand mon œil endormi a croisé un panneau publicitaire. Lorsque le message publicitaire est arrivé jusqu’à ma petite cervelle de consommateur passif endormi, ça m’a fait sursauter comme un électrochoc. Pendant cinq minutes, je me suis demandé si j’avais bien vu ce que j’avais vu. Je me suis calmé en me persuadant que mon esprit mal réveillé avait dû délirer tout seul...

  • Les couvertures auxquelles vous avez échappé

  • Encore une bavure Piollicière ! 

    Quel est le rapport entre le nouveau parking de la Villeneuve et les lampadaires de Grenoble ? Entre Margaret Thatcher et Eric Piolle ? Entre la CGT et Jérôme Safar ? Entre le conseiller de Michel Destot et les actions que possèdent Eric Piolle à Soitec ? Entre la ville intelligente et les situationnistes ? Au mois d’octobre, une vive polémique a éclaté autour de la gestion des lampadaires grenoblois. Le Postillon tente d’en tirer quelques enseignements afin d’éclairer votre lanterne.

  • Vincent Fristot, l’élu à énergie positive 

    La métropole grenobloise n’en finit pas d’innover ! Après le journaliste intelligent (Le Postillon n°13), l’élue augmentée (Le Postillon n°14), le grand promoteur inutile (Le Postillon n°18), l’arrivée d’une nouvelle équipe à la municipalité permet à notre cuvette de se porter à la pointe de la transition énergétique. Nous avons maintenant la chance d’avoir un prototype d’élu à énergie positive, plus connu sous le nom de Vincent Fristot. Actuellement président de GEG (Gaz électricité de Grenoble) et adjoint à l’urbanisme, au logement, à l’habitat et à la transition énergétique, c’est une innovation développée par Europe-écologie-les-verts (EELV) en partenariat avec Minatec, le premier centre européen pour les nanotechnologies, et l’association Négawatts. L’élu à énergie positive brille tellement qu’il est même membre du conseil scientifique de la fondation pour l’écologie politique, un satellite d’EELV. Partons à la découverte de cette innovation écologique.

  • Sous la novlangue, les humains

    Tout commence par une idée foireuse du rédac’chef : « Ce serait super que tu écrives un papier autour de la gare et de sa future transformation en ‘‘pôle d’échanges multimodal’’. » Ne voyez pas dans son enthousiasme une éventuelle passion pour un sujet original : si le boss veut qu’on parle de la gare, c’est parce que cet endroit, tout le monde connaît, tout le monde y passe de temps en temps, donc : ça peut faire vendre. Le Postillon vous propose donc un véritable article multimodal, entre valises à roulettes, Poste 3, gens de la rue magnifiques et cheminot averti.

  • La vieille dame qui pétille contre le Tahiti de pacotille

    Connaissez-vous les Chambarans et le bois des Avenières ? Non ? C’est normal : pour l’instant il n’y a rien là-bas. Rien d’intéressant : ni centrale nucléaire, ni pôle technologique, ni grandes entreprises. Tout juste trouve-t-on un camp militaire. Et puis de petits villages, des étangs et quelques paysans. Et surtout des forêts. Partout. Des arbres sur des centaines d’hectares. Vous trouvez ça normal, vous, qu’on laisse tel quel ce territoire, inutile, non rentable ? De ne vouloir tirer aucun profit de ces champs bons à rien, mais à une heure de Lyon, Grenoble et Valence ? Vous trouvez décent de laisser les cervidés, promeneurs, pêcheurs, chasseurs, cueilleurs, sylviculteurs, simplement jouir de ces étendues de calme ? Non ?

  • Escroquerie Partner

    Encore un article sur Raise Partner ! Dans notre dernier numéro, nous avons longuement détaillé quelques unes des magouilles réalisées par cette société cofondée par éric Piolle, le maire de Grenoble. Pillage de l’argent public, bénéfices déclarés à l’étranger, arnaque autour d’un brevet : des méthodes représentatives de l’« anti-modèle grenoblois », en tous points rebutantes et pourtant cautionnées par tous les élus et promoteurs de « l’innovation » à la grenobloise.
    Depuis, un ancien salarié et associé de Raise Partner nous a contacté pour nous dire qu’il avait bien aimé l’article - mais qu’il le trouvait incomplet. Luc (pseudo) s’estime victime d’une escroquerie et a entamé des démarches judiciaires pour la faire reconnaître. Son histoire enfonce encore un peu le clou sur cette société et ce qu’Éric Piolle, un de ces « actionnaires très minoritaires » censé représenter « l’autre gauche », « assume ».