Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • STMicro Maxi contrôle

    On conseille aux lecteurs frustrés par la faible place prise par le sujet STMicro dans ce numéro (on vous avait habitué à mieux) de faire un tour sur le site du collectif STopMicro (https://stopmicro38.noblogs.org/), qui a publié plusieurs textes très documentés (pour répondre à l’enquête publique, analyser les contributions de celle-ci ou « envisager une contraction des activités de ST et de la filière micro-électronique »). Celui intitulé « Life.augmented / Death.augmented. À quoi servent les puces (...)

  • Problème de « carriérisme » à la métropole

    Cela n’aura échappé à personne : les aires de passage des gens du voyage sont généralement aménagées là où personne ne veut aller : à côté des déchetteries, des autoroutes, sous des lignes à haute tension... Dans la Métropole grenobloise, il y a une telle pression foncière que même ce genre d’endroit rebutant n’est plus « disponible ». Alors pour aménager son aire de grand passage, obligatoire depuis 2015, la Métropole a choisi un terrain pour l’instant occupé par le carrier GCIA, une co-entreprise des boîtes de BTP Carron et Eiffage. Pour y parvenir, la Métropole compte leur donner un terrain occupé par un autre « petit » carrier, avec des conditions très avantageuses et une iniquité qui pose question. Plongée dans un dossier complexe mais éclairant sur la tambouille métropolitaine.

  • La révolution ne sera pas numérisée

    Dans les milieux militants écologistes aussi, le smartphone devient de plus en plus obligatoire, le recours aux technologies numériques de plus en plus une évidence. Alors qu’un texte récent conteste l’utilisation invasive de ces technologies dans les luttes écolos, Le Postillon a recontacté certains acteurs de la plus grosse mobilisation anti nucléaire du coin : la manifestation contre le surgénérateur de Creys-Malville, ayant rassemblé 60 000 personnes en 1977. Avec quelques questions récurrentes : comment faisait-on pour s’organiser avant les smartphones et les mails ? Les nouvelles technologies de la communication simplifient-elles l’action des militants ?

  • Les grands projets abandonnés

    De tout temps, le Grenoblois a voulu pourrir son environnement. Déterrons-donc et comparons ce à quoi on a échappé.

  • À quoi reconnaît-on un porte-parole du...

    À quoi reconnaît-on un porte-parole du gouvernement ? À son maniement parfait de la langue de bois, évidemment. Dans la vie, il n’y a pas de secret : le travail paie. Avec un entraînement quotidien, on peut arriver à des résultats spectaculaires. Habitué à défendre l’indéfendable macroniste devant les médias nationaux, Olivier Véran n’a pas trop à forcer son talent quand il nous fait l’honneur de sa présence dans sa ville de Grenoble. Il faut dire que Le Daubé, subjugué depuis toujours par le ministre aux (...)

  • Les charmes de la mondialisation

    Scandale dans le Vercors ! Suite à une vente aux enchères, dix-sept camions de bois ont été vendus aux Chinois. À cette occasion, un scieur de Veurey nous apprend qu’« aujourd’hui, transporter en container une coupe de bois du Vercors vers la Chine coûte le même prix que le transport en camion entre le Vercors et ma scierie à Veurey » (Le Daubé, 12/11/2023). Voilà les conséquences du progrès qui innove et de la mondialisation heureuse. « Pour prendre en compte les spécificités locales de la filière et (...)

  • Deep Red, la chaire à canon de l’université grenobloise

    Chères soignantes désespérées par le manque de moyens, vous vous demandez où est passé l’argent magique ? Il est chez les troufions ! Entre 2017 et 2022, le budget de la défense nationale est passé de 32 à 41 milliards d’euros, et sera en moyenne de 59 milliards entre 2024 et 2030. Car en ces temps où la France contemple béate l’horreur au Moyen-Orient, il nous faut apparemment « avoir une guerre d’avance » selon Emmanuel Macron. Une aubaine pour la Silicon Valley grenobloise et toutes les start-up du CEA (...)

  • Noyade de la démocratie participative

    C’est toujours drôle de re-consulter le programme de Piolle en 2014. Par exemple son engagement n°13 qui promettait de transformer le magazine de propagande municipal en « journal d’information et de débats sur les controverses municipales »… La bonne blague ! Exemple parmi tant d’autres : dans le dernier numéro de Gre.mag, il y a par exemple un article sur le projet de lac baignable de la Villeneuve. Une page de promotion de ce projet qui « sera une réalité dans quelques années » et rien sur l’avis (...)

  • Les chevilles gonflent-elles (aussi) à l’électrique ?

    Dès 2014, Piolle avait promis de ne pas faire plus de deux mandats de maire et – fait assez rare pour être souligné – c’est une promesse qu’il compte toujours tenir. Au journaliste d’Actu Grenoble (18/10/2023) qui le questionne sur sa vie après 2026, le tout récent condamné pour favoritisme répond avec son assurance inadaptée légendaire : « Je vais continuer à m’investir à l’échelle nationale. Je compte bien être une pièce maîtresse d’un programme commun et d’une candidature unique en 2027. Est-ce que je serai (...)

  • Fairme

    Scandale ! Il reste encore du travail manuel dans les fermes. Si les machines ont déjà pas mal envahi l’agriculture, ce n’est visiblement pas assez pour la Start-up nation qui tente de toujours trouver des nouvelles parts de marché. Ainsi de la start‑up Fairme, qui veut commercialiser des « micro-laiteries », gros conteneur en bois capables de « préparer des produits laitiers et de les vendre de manière totalement autonomes ». En gros, il suffit au paysan de lui « donner » du lait cru, la machine le (...)

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