Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • La bascule entre deux époques

    Son nom porte une trace de la vie passée dans le Sud-Grésivaudan, quand des « bascules publiques » servaient à peser les marchandises ou les animaux dans les véhicules. Depuis, les animaux ont été globalement remplacés par les noyers, mais le café tabac La Bascule est resté, seul commerce de la petite commune de Cras, à cinq kilomètres de Tullins. Depuis deux ans, Bernard a laissé les manettes de ce charmant lieu, nouveau point de vente du Postillon, à Mehdi. Entre disparition de la paysannerie, transformation des lieux de sociabilité, fuite du luxe parisien et braquages, leurs témoignages permettent de basculer dans des dimensions inattendues.

  • Le prono des municipales

    8,52 % en 2014, 2,01 % en 2020… Comme dans la plupart des Métropoles, l’extrême-droite n’a jamais grand remplacé les partis de gauche ou de droite classique aux élections municipales de Grenoble. Mais les 17 % obtenus aux européennes de 2024 (Rassemblement national + Reconquête) doivent certainement ouvrir les appétits de quelques arrivistes nationalistes, trouvant le droitier Carignon trop compatible avec « le système d’essstreme-gauche ». Voici les cotes des principaux prétendants.

  • Barrages partout, baignade nulle part

    En Occitanie et en Catalogne, les « dracs » sont des « créatures imaginaires de formes variables, dont la plupart sont considérées comme des dragons représentant le diable, liés à l’eau et à ses dangers  ». Dans la Cuvette, le Drac est juste une rivière un peu pénible à traverser. Mais que sait-on de lui ? Le sixième épisode de ce feuilleton revient sur ce scandale local : malgré toute cette bonne eau descendant des montagnes il est impossible de se baigner dans le Drac.

  • Courrier

    Le journal au café
    « Il est huit heures du matin, je lis le dernier Postillon dans un café bar de Saint-Laurent-du-Pont, où j’ai mes habitudes avant d’aller bosser. À cet horaire se croisent les anciens, les artisans, les gens du coin, et il n’est pas rare d’entendre tout ce beau monde s’alpaguer, d’une table à l’autre. (…) Depuis deux ans et quelques que je suis arrivé dans la région, lire Le Postillon ici en écoutant les conversations si animées et vivantes avant de commencer la semaine (…)

  • Transparence pour tous !

    Des fois (rarement), il nous arrive d’être d’accord avec Grenoble le changement, le site des ultracarignonistes. Comme quand ils s’insurgent, le 13 mai 2025, des plaintes en diffamation qu’ont déposées des élus de la majorité municipale contre leur site : « Les partisans de la transparence pour toutes et tous détestent que l’entrelacs de liens familiaux et politiques soit connu, alors qu’il n’y a rien de répréhensible. La transparence est bonne pour les autres soupçonnés par nature. Pas pour (…)

  • UGA : Université des Grossistes en Armes

    Chaque jour ou presque apporte l’annonce de nouvelles horreurs commises en Palestine par l’armée israélienne, entre massacres, nettoyages ethniques, expulsions et autres destructions. Étonnamment, à chaque fois que l’université Grenoble-Alpes (UGA) évoque cette guerre, c’est pour… sanctionner celles et ceux qui s’indignent de ces horreurs. Alors bien sûr, on peut débattre de la pertinence de certains symboles et mots utilisés, mais quand même, toutes ces sanctions ressemblent plus à une (…)

  • Tchao bye bye la sub’

    Le département de l’Isère a aussi voulu participer au concours local des polémiques débiles, en décidant de retirer une subvention déjà votée à l’association Mix’Arts. En cause : la programmation de Médine au festival Bien l’bourgeon, fin mai à Gresse-en-Vercors. Si ce rappeur a déjà fait de nombreuses fois polémique au niveau national pour quelques petites phrases et autres tweets pas des plus clairvoyants, il n’a pas non plus été condamné pour quoi que ce soit. L’ingérence du Département (…)

  • Le parc de Chartreuse va chauffer la neige

    Toujours en avance, le parc régional de Chartreuse. Ses responsables pensaient déjà qu’il n’y aurait plus jamais de neige dans le massif… En effet la construction de la nouvelle « Maison du parc » à Saint-Pierre-de-Chartreuse, trois millions d’euros quand même, a connu quelques « aléas » avec notamment l’affaissement d’une partie du toit sous le poids de la neige. À priori les ingénieux architectes n’avaient pas prévu qu’il pouvait y avoir encore un peu de neige en hiver, comme nous l’a (…)

  • Jalousie mal placée

    Une semaine avant la grande manifestation « De l’eau, pas des puces » ayant réuni environ 2 854 personnes (selon notre service de comptage) à Bernin, le maire de Crolles Philippe Lorimier a poussé un « coup de gueule » en plein conseil municipal du 21 mars. L’objet de son courroux : la distribution d’un tract du collectif STopMicro, co-organisateur de la manif, dans toutes les boîtes de sa commune. Alors il s’est emporté contre les militants, à qui il conseille de « faire un retour à la (…)

  • Métropole + Daubé + start-ups = Coeur

    200 000 balles : c’est la somme donnée à « Ebra Médias Rhône-Alpes Paca » (la régie du Daubé) par la Métropole de Grenoble, comme nous l’apprend le « contrat de prestations de services relatif à l’évènement “Tech&Fest” ». Ce nouveau festival créé par Le Daubé pour « célébrer l’innovation » a connu sa deuxième édition début février, en étant grassement subventionné par la Métropole. Le « marché sans publicité ni mise en concurrence » signé le 5 décembre 2024 détaille l’ensemble des « (…)