Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Sans papiers et sans contact humain

    Afin de donner du grain à moudre à tous les participants du Tech&Fest (le 5 et 6 Février à Alpexpo), Le Postillon se penche sur la « fête » de la « dématérialisation » permise par les « techs ». Les premiers à la subir sont les étrangers, qui doivent composer avec la fermeture de tout accueil physique à la préfecture de l’Isère, entraînant – outre un immoral marché noir de rendez-vous à la pref’ – quantité de situations kafkaïennes.

  • Humanité vacante

    Cette année, quantité de propriétaires isérois ont reçu une « taxe pour logements vacants » alors que leur logement est occupé. La faute à un bug informatique (un peu) et à la dématérialisation (beaucoup).

  • Arrêtez STIP !

    Mais comment diable notre mathématicien fait-il pour trouver des sujets de chroniques ? Le génie de la gabegie numérique, c’est de déborder partout, jusqu’à la porte du bureau… Nul effort à produire, il suffit de tendre la main et de se délecter. Ce mois-ci, c’est au tour de l’Inria de produire les fruits gâtés du numérique.

  • Père chlorate raconte-nous des histoires

    Les plateformes chimiques du sud grenoblois ont maintenant plus d’un siècle et approchent peut-être de leur fin, les menaces de fermeture qui planent sur Vencorex pouvant entraîner la fermeture des autres entreprises des plateformes. Elles ont déjà laissé derrière elles quantité de pollutions, de maladies professionnelles et d’armes chimiques. Dans un avenir proche, elles laisseront peut-être en plus des chômeurs (et leurs situations humaines dramatiques) et des friches industrielles polluées. On s’est déjà penchés sur leur histoire à plusieurs reprises (voir notamment les Postillon nº12 et n°54), et voilà qu’on découvre ici quelques nouveaux faits édifiants.

  • Courrier des gens qui nous lisent

    Odeurs non virtuelles
    « Je lisais Le Postillon dans le TER de retour de Lyon, et en même temps j’ai eu mon premier voisin de train en casque de réalité virtuelle. Il était devant moi de dos, siège devant en diagonale. Un homme assez jeune à l’apparence assez tranquille en pull de laine et veste en peau de mouton retournée (je l’ai remarqué quand il s’est couvert avant de sortir), il a passé le trajet à hocher très légèrement la tête un peu à gauche un peu à droite, les mains jointes et (…)

  • Concours d’affiches

    L’affiche de notre quatrième de couverture parodie les affiches réalisées l’année dernière lors d’un concours pour promouvoir le Tech&Fest, évènement de promotion des technologies organisé par Le Daubé ayant lieu les 5 et 6 Février prochain à Alpexpo. Le thème du concours de cette année est celui des « métiers » selon François Legrand, responsable communication. « C’est toujours compliqué de les illustrer car beaucoup de gens travaillent devant les ordinateurs » (Le Daubé, 23/09/2024). (…)

  • Du nouveau à Voiron !

    Pour l’instant ce n’est (hélas !) qu’un site Internet. Mais il paraît qu’il y aurait des projets de papier… En tous cas, on ne peut que saluer la naissance de Rue Haute « média d’enquête en ligne indépendant de Voiron ». Au sommaire : beaucoup de suivis des dossiers municipaux de la ville de Voiron, menés sans ménagement par Julien Polat, le célèbre « bébé Carignon » (voir Le Postillon n°54). Malgré de nombreuses relances et une obstination à toute épreuve de la part de Rue Haute, Polat et (…)

  • Isorg renaît sous un autre nom

    Notre long article sur le fiasco Isorg dans le dernier numéro (start-up ayant pompé des dizaines de millions d’euros d’argent public sans jamais rien produire) a fait jaser, notamment sur le réseau « social » Linkedin. En errant dessus, on a pu également apprendre que d’anciens responsables d’Isorg (Jérôme Joimel, Benjamin Bouthinon, Fabien Geoffray) sont en train de remonter une boîte exactement sur le même créneau. Les statuts de la société VS Technology, présidée par Claudine Joimel (…)

  • Scot toujours !

    Nous évoquions dans le dernier numéro les tentatives de passage en douce pour l’extension de Soitec à Bernin, désormais dénommée zone d’activités économiques (ZAE) des Fontaines et portée par la communauté de communes et non pas par la multinationale. Pour enfin arriver à bétonner ces 11 hectares de terres agricoles, reste néanmoins à modifier le Scot (schéma de cohérence territoriale) et à les faire passer de « zones agricoles » à « zones urbaines industrielles », ce qui est un bon résumé (…)

  • Une dette encombrante

    850 000 euros par an. C’est la jolie somme que le bailleur social Actis aurait illégalement prélevé à ses locataires ces dernières années. En décembre 2023, l’agence de contrôle des organismes locatifs sociaux (Ancols), relève notamment que le bailleur social « récupère auprès des locataires la levée des encombrants » ce qui est « non conforme aux dispositions du décret 82-955 du 9 novembre 1982 modifié ». Concrètement, sur l’année 2020, le rapport note qu’Actis facture des charges pour (…)