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  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Métropole : la mort du politique

    Certains élus de la cuvette, notamment ceux du Front de gauche, sont toujours réticents au prochain passage en métropole, prévu pour le premier janvier prochain.

  • Le journal à deux balles

    Au matin du 8 janvier dans les rues de Grenoble :

  • L’anti-modèle grenoblois

    Chers adolescents de la cuvette, je profite de la rentrée des classes pour m’adresser à vous. Dans les prochaines années, ceux d’entre vous, nés sous une bonne étoile, qui « réussiront » à l’école et iront grossir les rangs des facultés, risquent de beaucoup entendre parler du « modèle grenoblois ». On vous le donnera en exemple comme si c’était quelque chose dont il faudrait s’inspirer. On vous vantera la formidable « liaison université-recherche-industrie », la merveilleuse « innovation », le génial « écosystème propice au développement des start-up », l’époustouflante « attractivité ». On vous promettra des salaires mirobolants, des carrières fulgurantes, des situations alléchantes. Mais méfiez-vous. Ne tombez pas dans le panneau de l’argent facile.

  • Pierre Gattaz et le modèle grenoblois : c’est le grand amour !

    Depuis l’université d’été du Medef, tout le monde sait que Pierre Gattaz est tombé amoureux du premier ministre de gauche Manuel Valls. Mais le dynamique patron des patrons, visiblement libertin, entretient d’autres relations intenses ! Le Postillon révèle, preuves à l’appui, l’idylle entretenue entre celui qui veut baisser le SMIC et le « modèle grenoblois ».
    Comment est née cette relation ? Quelles sont les raisons du coup de foudre ? Que révèle cette liaison de ces deux tourtereaux ? Cette relation va-t-elle durer maintenant que le modèle grenoblois s’est teint en rouge et vert ? Les paparazzis du Postillon ont mené l’enquête et dévoilent tous les secrets de cette love story.

  • Les carnets intimes de nos élus

    Les politologues le répètent : une des grandes causes du désamour entre le peuple et les politiciens, c’est que ces derniers ne sont pas assez « proches des gens ». Pour remédier à ce défaut de proximité, Le Postillon offre à ses lecteurs des extraits du carnet intime de personnalités politiques locales. Après avoir ouvert dans nos précédents numéros les carnets des sous-ministres Geneviève F. ou André V., on révèle dans ce numéro les contenus des écrits persos des militants de l’UMP de l’Isère et des élus du « rassemblement des citoyens de la gauche et des écologistes » de Grenoble (tous les faits et les citations sont exacts).

  • « Le problème, c’est l’accès à la terre »

    « Est-ce que les élus de la cuvette soutiennent les petites agricultrices locales comme moi ? C’est ambigu. Tu vois le marché de l’Estacade ? Il est censé y avoir deux marchés : au sud, celui des revendeurs, au nord les petits producteurs. Au sud, quasiment tous les légumes viennent du Marché d’intérêt national (MIN) rue des Alliés. Bon, c’est des produits qui viennent souvent du sud de la France ou d’Espagne, généralement fabriqués dans des conditions désastreuses d’un point de vue écologique et humain.

  • Piolle, jusqu’audube-doutiste ?

    Une des promesses du nouveau maire EELV Eric Piolle est de faire vivre « une ville à la démocratie renouvelée » avec un « pouvoir d’agir pour chaque habitant ». Son équipe presse les habitants – et notamment les membres des associations – à s’engager dans les différents chantiers municipaux. Est-ce un piège ? L’éternel étudiant en histoire du Postillon tente un parallèle pour éclairer nos lanternes.

  • « Combien je vais me prendre d’insultes aujourd’hui ? »

    C’est certainement un des métiers les plus détestés, à Grenoble comme ailleurs. Rencontre avec un contrôleur, passé par la SEMITAG (Société d’économie mixte des transports de l’agglomération grenobloise) et la SNCF.

  • Traite d’êtres humains et profits en tous genres

    Depuis 2007, la prostitution de rue est de plus en plus visible à Grenoble, ce qui ne manque pas de provoquer des réactions des honnêtes gens. Pour rassurer les électeurs, les autorités ont mené plusieurs opérations censées lutter contre les proxénètes et les « réseaux ». Mais les grands mots n’ont rien changé au sort misérable de ces femmes victimes de traite d’êtres humains.

  • Quand les journalistes « allaient sur le pré »

    Les journalistes ne se sont pas toujours envoyés des piques uniquement sur Tweeter. En 1887, les rédacteurs en chef de deux quotidiens grenoblois s’affrontent dans un duel à l’épée, largement relaté dans la presse nationale. Aucune cause sérieuse à ce combat qui blesse l’un des deux rédacteurs et fait perdre son travail à l’autre, juste quelques vannes écrites dans leurs journaux respectifs.
    Rassurons monsieur Jean-Pierre Souchon, rédacteur en chef du Daubé : pour une fois, Le Postillon ne donne pas dans le « c’était mieux avant ».