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  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Petites annonces

    Le Postillon s’apprête à aménager un nouveau local. On recherche donc du bois (poutres et planches pour mezzanine et étagères), une table, des chaises pliantes, un bureau, une plaque de gaz, du matériel électrique (câbles, goulottes, disjoncteurs), une imprimante A3, un scanner, un évier en fer, des 8.6, une armoire à cuillères et une tourniquette pour faire la vinaigrette. Si vous avez des plans récups/pas cher, merci de nous contacter au 04.76.21.46.45, lepostillon@gresille.org.

  • La palme du fayot...

    ...revient incontestablement à Félix , qui nous a envoyé cette « demande d’abonnement argumentée ». Le concours de flagornerie est ouvert avec un niveau d’emblée très élevé.

  • Tous au ciné et dans les kiosques !

    Une fois n’est pas coutume, Le Postillon se permet une petite page de publicité. On sait que toutes les meilleures choses du monde sont produites à Grenoble (applaudissements) ; il arrive cependant que d’heureuses surprises nous viennent d’autres régions.

  • Le Linky sera-t-il le genre humain ?

    Le Linky, c’est un petit objet. Mais à travers ces nouveaux compteurs électriques en train d’être déployés sur la cuvette grenobloise, on peut observer les errements de la gauche et la filouterie du Front National. Le Postillon a déjà évoqué plusieurs fois ce gadget, le business qu’il génère, les capacités de flicages qu’il induit et les emplois qu’il détruit (voir les n°10 et 29). Depuis plusieurs années, des collectifs - Stop Compteur Linky 38 ou le collectif Antennes Villeneuve - mènent une campagne active contre ces compteurs intelligents, et ont notamment collé des centaines d’affiches. Cette campagne a suscité une seule prise de position politique, celle de Mireille d’Ornano, conseillère municipale à Grenoble.

  • Le Front national : le parti des riches qui attire les pauvres

    La politique est pleine de paradoxes : le Front national remporte de plus en plus de voix dans les catégories les plus modestes de la population française. Ainsi il réalise souvent ses scores les plus élevés dans les communes les plus pauvres. Est-ce parce que les élus frontistes représentent sociologiquement les « petites gens » ? Pas sûr.

  • 15 000 euros par mois

    Voici une information trouvée sur la « Grevue de presse », réalisée par le site internet d’Ici Grenoble : « Pour celles et ceux qui se demandent de quelle classe sociale faisait partie Eric Piolle avant son élection à la mairie de Grenoble, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique apporte quelques éléments de réponse. Depuis le 17 décembre, il est en effet possible de consulter en ligne les déclarations d’intérêts et d’activités des maires des communes de plus de 20 000 habitants. Sur la fiche d’Éric Piolle on découvre de nombreuses informations, dont le fait qu’il touchait à Hewlett-Packard un salaire de 144 000 euros en 2009, 184 000 euros en 2010, ou encore 111 000 euros en 2011 ».

  • À la recherche de Z

    Après la sortie du dernier Postillon, on a fait des affiches, comme d’habitude. Et puis on les a collées un peu partout, comme d’habitude. Et là, patatras : au moins une vingtaine d’entre elles ont été rendues illisibles, recouvertes par un grand Z écrit à la bombe de peinture, accompagné quelquefois d’un K.

  • Comment « virer son patron » ?

    Dans notre dernier numéro (article « Dernières nouvelles de la paix sociale »), on parlait d’un chauffeur de car, Julien, qui voulait créer une jurisprudence afin de « virer son patron ». Embauché par Faure Vercors, mais ulcéré et fatigué par ses conditions de travail, il avait démissionné puis débuté une démarche aux prud’hommes. Depuis, le procès a eu lieu, et a donné raison à Julien sur quasiment toute la ligne.

  • La chasse à la fondue

    Montagnes Magazine organisait une table ronde mercredi 3 février à la Maison du tourisme, après les deux accidents de chasse mortels de l’automne (en Belledonne et en Savoie). Présentes : Mountain Wilderness, l’Office national des forêts, la Fédération des Clubs alpins et de montagne, Action nature rewilding France… ainsi qu’un public assez nombreux de montagnards, écologistes, et même un élu de la Ville de Grenoble, pour « dépasser le débat anti-chasse/pro-chasse afin de dégager des pistes pour améliorer la cohabitation sur le terrain entre chasseurs et non chasseurs. »

  • Même les nantis socialistes s’imposent l’austérité !

    Il paraît que la socialiste Amélie Girerd n’a pas aimé notre article du n°31 où l’on soulignait qu’elle cumulait « pas moins de quatre fonctions importantes : conseillère départementale, maire de Renage, conseillère communautaire de la communauté de communes de Bièvre-est, et chef adjointe de cabinet du sous-ministre André Vallini », palpant ainsi au moins 10 500 euros brut.