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  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Qui s’y frotte, s’y pique

    « Si ça frotte, c’est peut-être qu’on est au bon endroit ». Dans une interview au Petit Bulletin (5/04/2016), Éric Piolle et Corinne Bernard défendent la politique culturelle menée par la mairie de Grenoble avec une rhétorique bien pratique. La fermeture des bibliothèques ? Ça « frotte », donc on est « au bon endroit » ! En attendant d’aller bouquiner dans les bibliothèques menacées, Le Postillon a scruté deux autres « bons endroits », où ça a bien frotté ces derniers mois. Attention, ça pique !

  • Édito

    Au Postillon, c’est surtout l’été qu’on fait des cadeaux. Non seulement, on vous invite à un « vernissage judiciaire » pour fêter notre premier procès, le 29 juin prochain, devant le palais de justice, avec petits fours et vin d’honneur (voir en dernière page). Mais en plus, on vous offre un numéro « spécial été » avec quatre pages supplémentaires, et en couleur avec ça. Bon, forcément tout ça a un coût. Alors, avec pour seule préoccupation votre satisfaction, la noblesse du journalisme et notre compte en banque, on vend ce numéro trois euros au lieu de deux.

  • Mission : sauver Rambo

    Vous l’avez sûrement déjà croisé dans les rues de Grenoble. Son sourire doit vous dire quelque chose. Presque toujours torse nu (même l’hiver), il déambulait quasiment toute la journée et s’arrêtait des fois sur un trottoir pour danser sur le son de son fidèle ghetto-blaster. Il devait son surnom à sa musculature impressionnante : le « Rambo de Grenoble ».

  • Safar chat noir

    On redoute le pire pour nos amis de Villeurbanne : notre Iznogoud local Jérôme Safar vient d’y être nommé directeur de cabinet du maire.

  • Tout le monde déteste le Linky

    Le Postillon, dont le nouveau local est à Fontaine, doit subir comme les autres habitants de la « banlieue rouge » l’insistance d’ERDF pour installer le nouveau compteur « intelligent » Linky. On a beau avoir refusé par recommandé, ERDF nous a appelés et écrit une lettre pour nous dire qu’on n’avait pas le choix.

  • Le Lyon-Turin ou la caverne

    Une fois n’est pas coutume, les élus rouges & verts de Grenoble ont pris une bonne décision. Ils ont retiré la ville de Grenoble du « protocole d’intention » relatif au projet de TGV Lyon-Turin. Toute personne censée sait qu’il n’y a rien à gagner dans ce projet délirant, tout juste bon à faire un gros trou dans la montagne comme dans les finances publiques pour que les encravatés puissent gagner deux heures de trajet entre Lyon et Turin. Tout le monde à part les fanatiques du Progrès qui ont rivalisé de bêtise pour condamner cette décision, relevant du simple bon sens, et qui ne changera rien pour la Ville de Grenoble

  • Le parc de Chartreuse entre de bonnes mains

    Connaissez-vous Dominique Escaron ? Il est charmant le maire du Sappey-en-Chartreuse, et en plus il peut être très arrangeant. Il y a quelques années, Sylvie Manceau a racheté l’ancien centre de vacances des Bens, un hameau isolé du village, pour le reconvertir en centre équestre. Problème : elle avait envie de construire plus, ce qui était incompatible avec le Cos (Coefficient d’occupation des sols), dont le but était de « limiter toute velléité d’urbanisation » dans cette zone sauvage du parc naturel de Chartreuse.

  • Vend maison avec vue sur le mur

    Cela fait partie des incongruités du PLU (plan local d’urbanisme) que l’on peut régulièrement constater dans diverses communes. A Gières, juste en face de la mairie, la ville a autorisé la construction des « Terrasses du Sonnant », un immeuble de huit logements (six en accession libre et deux logements locatifs gérés par la Société dauphinoise pour l’habitat), à l’angle de la rue Victor Hugo et du Chemin du Platane. Problème : l’arrière du bâtiment tombe à moins d’un mètre du mur de la maison voisine, qui ne peut donc plus ouvrir l’une de ses fenêtres.

  • À HP, licenciement abusif et magouilles

    Il n’y a pas que les précaires et bas salaires qui peuvent être touchés par un droit du travail trop favorable aux patrons. Julie (c’est un pseudo) a travaillé dans la multinationale Hewlett-Packard (HP) pendant quinze ans et demi. Elle était même « manager ressource » et chef de projet. À partir de 2013, sa situation se dégrade.

  • Delaunois a pris très cher

    Hallucinations, troubles de la vision, mensonges : dans l’agglomération grenobloise comme ailleurs, la drogue fait des ravages. Dernier exemple en date : le président de la Fnaim 38 (Fédération nationale des agents immobiliers) s’est emporté dans Le Daubé (7/05/2016) contre le projet d’encadrement des loyers, « d’autant plus qu’en immobilier, surtout à Grenoble, les loyers baissent depuis dix ans ». Ce monsieur s’appelle Vincent Delaunois.