On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.
Le site du journal Le Postillon
Derniers articles en ligne
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Pour pédaler, cliquez ici
Rendez-vous compte : à Grenoble jusqu’à l’année dernière, il y avait encore un service presque public où on ne pouvait rien faire en ligne. On ne pouvait même pas cliquer pour réserver, vous imaginez ! Il fallait aller dans le monde réel (comme c’est désagréable !) et parler avec un humain (quelle horreur !). Heureusement grâce à nos chers élus de la transition du monde de demain, cette anomalie est réparée. Aujourd’hui, la gestion du service de location de vélos Métrovélo a été confiée à un « opérateur de mobilités » qui a enfin mis en place la « numérisation » du service. Le problème, c’est que le logiciel foire complètement, ceci entraînant, entre autres réjouissances, nombre de situations kafkaïennes pour les clients et surtout les salariés.
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Plein de pub, toujours peu de sub’
Depuis deux ans, c’est un peu le passage obligé de beaucoup de politiciens nationaux en visite à Grenoble. La Papothèque est un dynamique lieu de vie du quartier Lys Rouge dans Grenoble-sud. Depuis qu’il est menacé d’expulsion pour cause d’impayés de loyer, les opposants à Piolle s’en servent d’étendard pour dénoncer l’abandon municipal des quartiers Sud. Mais si cette instrumentalisation leur permet de publier des belles photos sur les réseaux sociaux, leur brassage de vent n’a pour l’instant pas du tout permis de résoudre les problèmes financiers de la Papothèque.
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Une certaine idée de la lose
Retour sur l’échec de Piolle à la primaire écolo.
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Aux perdants, la ville reconnaissante
Grenoble ce n’est pas que le chevalier Bayard, Sami Bouajila ou encore Gilles Kuntz, bref des mâles alpha, des winners, des phares dans la nuit. C’est aussi une ribambelle de tocards, comme la déroute d’Eric Piolle aux primaires des écolos nous l’a récemment rappelé. Alors Le Postillon commence à dresser une liste non exhaustive de perdants grenoblois. Vous pouvez la compléter en contactant la rédaction, afin de pouvoir faire ériger une plaque commémorative « Aux perdants, la ville reconnaissante » lors du prochain budget participatif.
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La seveso valley
Pour fêter les vingt ans de la catastrophe d’AZF, la Métropole a vu les choses en grand et est allée jusqu’à installer un nouveau site Seveso dans la cuvette. Si toute la presse a salué le début des travaux de l’usine d’Aledia, rien n’a filtré sur les nouveaux risques technologiques créés par cette boîte.
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« Ne pas être la seule à être la seule »
Nicolas Bonanni et Margaux Capelier, Grenoble Calling, une histoire orale du punk dans une ville de province, Le Monde à l’envers, 2021. 16 euros
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Associations à vendre
Depuis le printemps dernier, un vif débat agite le milieu associatif grenoblois. Apsys, promoteur coté en Bourse construisant le giga-centre commercial Neyrpic à Saint-Martin-d’Hères, propose à des associations des locaux et des moyens. Si certaines sont prêtes à accepter une telle alliance avec le « diable », ces positionnements sont avant tout symptomatiques de l’abandon financier progressif des structures de l’éducation populaire par les pouvoirs publics.
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Vitrage simple changement compliqué
Réussir à obtenir un logement social, c’est déjà un parcours du combattant. Mais si on a la malchance d’habiter dans un appartement avec des problèmes d’indécence ou d’insalubrité, vouloir les faire résoudre relève souvent du chemin de croix. C’est en tout cas ce que révèle l’histoire de Lætitia, dont les fenêtres simple vitrage laissent passer l’eau de pluie depuis plus de cinq ans.
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Des alertes qui tournent en rond
« Insubordination et comportement déloyal. » Diable ! Qu’a donc fait Hélène pour mériter ce motif de licenciement ? Pendant des années, cette ancienne salariée du Synchrotron a tenté d’alerter sur des manquements éthiques réguliers au bien-être animal. Peine perdue : tout ce qu’elle a obtenu, c’est de se faire mettre à la porte.
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Un « article simpliste et décourageant » ?
L’article du dernier numéro sur les dysfonctionnements de la MAS (Maison d’accueil spécialisé) de Coublevie, prenant en charge quarante résidents autistes, a suscité pas mal de retours, enthousiastes ou critiques. Tentative de synthèse des réactions.