Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Atos et les compteurs communicants

    Afin de favoriser la sobriété, la métropole lance une nouvelle application ! Et le pire c’est qu’elle est développée par la multinationale Atos, qui a simplement « pris l’engagement  » de ne pas utiliser les données collectées. Et on est prié de les croire.

  • L’appel des cabines

    Suite de la lutte pour la réinstallation de cabines téléphoniques

  • Germinal : La grosse tête

    Les requins du marketing ont une nouvelle arme : le « growth hacking  » ou piratage de croissance. En gros, il s’agit de vendre du vent en brassant du vent. Mais le pire c’est que ça peut rapporter gros. Germinal, une boîte créée à Grenoble, en a fait son fonds de commerce pour le plus grand bonheur de son fondateur, Grégoire Gambatto, un «  influenceur » au melon toujours en pleine croissance.

  • Un plan qui se déroule (presque) sans accroc

    Depuis la sortie en librairie le 24 février du livre du Postillon, Le Vide à moitié vert – La gauche rouge-verte au pouvoir : le cas de Grenoble, tout se déroule comme prévu – ou presque.

  • Le magasin sans horizon

    Des vieux « réacs » contre des militantes du féminisme et du décolonialisme. C’est cette opposition qui semble structurer l’agonie actuelle vécue par le Magasin des horizons – le centre national d’art contemporain de Grenoble. Et pourtant, comme souvent dans ce genre de polémiques modernes, la réalité est bien plus complexe. Si la directrice Béatrice Josse est défendue par l’ensemble des salariées actuelles, des anciennes membres de son équipe dénoncent une grande dissonance entre la communication autour du « care » et la réalité subie au quotidien. Cinq ans après le départ houleux du précédent directeur, cette énième crise vient aussi mettre le doigt sur les problèmes structurels de ce centre d’art.

  • Quels enfants allons-nous laisser à nos journaux ?

    «  La question n’est pas : quel monde laisserons-nous aux enfants de demain ? mais plutôt : quels enfants laisserons-nous à ce monde-là ? » C’était Jaime Semprun qui s’interrogeait il y a quelques années. Aujourd’hui, les adultes s’inquiètent des jeunes « qui passent leur temps derrière les écrans  ». Mais oublient de questionner leurs responsabilités dans l’avilissement numérique généralisé.

  • La fabrique du consentement à la grenobloise

    Depuis un an, on subit les décisions de restriction de libertés d’un pouvoir autoritaire, qui contraint les allées et venues de chacun sans même prendre la peine d’en débattre au Parlement. Heureusement, la municipalité grenobloise a été une fois de plus pionnière en lançant son « comité de liaison citoyen » sur le Covid-19 afin de faire vivre la « démocratie sanitaire ». À quoi ça sert ? Une vidéo nous apprend qu’il s’agit bien plus de fabrique du consentement que de démocratie.

  • La rue à feu couvert

    « Elle est où la fête ? » pourrait être le titre de cet article mais la fête est annulée. De 19h à 6h du matin, les rares ombres dans la rue sont au travail ou hors-la-loi. Convaincu que la nuit ne meurt jamais, Le Postillon a cherché des traces de la vie après le couvre-feu le soir du jeudi 25 mars, de la passerelle saint Laurent à la gare, du parc Paul Mistral à Saint-Bruno. Bilan : inestimable.

  • Sylvie, Ahmed, et le marchand de sommeil

    Des taudis, il y en a partout, même dans les beaux quartiers. Sylvie et Ahmed étaient voisins au 59, avenue Alsace Lorraine, à deux pas de la gare, dans un logement à peine habitable. Mais le pire, c’est qu’ils se sont fait virer sans être relogés.

  • L’asile soigne sa sécurité

    Alors que la nécessité de soins psychiatriques explose après un an de restrictions et de vies empêchées, certaines pratiques du centre hospitalier Alpes-Isère (Chai) de Saint-Égrève, principal hôpital psychiatrique du département, sont problématiques. Ces dernières années, plusieurs abus d’enfermement ou d’attachement ont été signalés par des soignants ou des familles de patients. Alors que les caméras ont poussé sur le site, des soignants regrettent toujours le manque de moyens humains et matériels pour faire face à la vague psychiatrique qui ne fait que commencer.

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