Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Adjoint à la fermeture des points de fraîcheur

    À force de voir chaque été un nombre incalculable de fontaines à sec, on se demandait à quoi pouvait donc bien servir l’adjoint « à la fraîcheur » nommé en juin 2020 ? Début juillet, en pleine canicule, l’association Vivre à Grenoble révélait l’étendue du « désert aquatique Grenoblois » : 72% des fontaines hors d’usage dont la totalité de celles des quartiers sud. Depuis, pas de changement si ce n’est une défense pleine de mauvaise foi pour Gilles Namur : « Parmi celles-là [les 41 fontaines de Grenoble], il y a (...)

  • Densifier encore

    En cette fin d’été, le président de la Métropole a refait une campagne en faveur de la bétonisation. Christophe Ferrari assure : « Densifier nos lieux d’habitation, c’est la seule solution » Étonnamment il habite toujours dans une villa avec jardin à Pont-de-Claix (en plus de sa résidence secondaire dans le Valjouffrey).

  • La maison des habitants et le cagibi des associations

    Depuis l’arrivée de Piolle à la municipalité, cette dernière réduit les subventions aux associations des quartiers populaires pour tout miser sur les maisons des habitants. Illustration avec l’association Osmose de la Villeneuve.

  • Mehdi #SaccageInternet

    Recenseur de tags, de poubelles renversées et de crottes de chiens. Sacrée passion. C’est pourtant une mode qui gagne peu à peu toutes les villes de France, surtout celles dirigées par des maires écolos. L’activisme de ces partisans, qui se déploie sous le hashtag SaccageNomdelaville, a récemment gagné notre chère capitale des Alpes. Aux commandes de la page Facebook Saccage Grenoble, on trouve un certain Mehdi. Tantôt érudit, tantôt grossier, Mehdi est habité par la rage – contre les graffeurs, les vélos, et même la Française des jeux. Il a trouvé son exutoire : les réseaux sociaux, qu’il « saccage » de ses publications quotidiennes. Rencontre avec l’influenceur des rues aseptisées.

  • Le buzz des cabines

    Il y a un an, quelques membres du Postillon accompagnés de quelques compères créaient l’OIRCT (Observatoire international pour la réinstallation des cabines téléphoniques). Contre toute attente, ce combat suscite un certain engouement médiatique. Voilà les dernières actualités de l’Observatoire.

  • « Pensez à la belle image que ça donnerait à votre groupe »

    Début avril, l’OIRCT a envoyé cette lettre recommandée au site « innovant » d’Orange à Meylan. Plus d’un mois après avoir reçu l’avis de réception, toujours pas de réponse de la part de l’opérateur.

  • Parle à mon coach

    Dans un lycée de la cuvette, l’idée saugrenue d’embaucher des coachs a émergé. Le but : préparer les élèves à des examens oraux. Malgré l’enthousiasme de la direction pour ce dispositif innovant, une assemblée générale de profs a voté contre cette intrusion du privé et de ses méthodes au sein de l’école publique.

  • La convergence des flûtes

    Si les deux ont suscité le même genre de commentaires caricaturaux et d’opprobres injustifiées, les mouvements des Gilets jaunes et de l’opposition au passe sanitaire n’ont pas eu grand-chose à voir. Le premier, par sa spontanéité, son mode d’organisation et ses revendications tendait naturellement vers un idéal de justice sociale. Le second a plutôt tourné autour des discours covido-sceptiques fleuris pendant les premiers confinements. Les militants de gauche ont eux rejoué l’hésitation à rejoindre un mouvement « impur » et leurs revendications ont peiné à se faire entendre. L’absence de lieux de rencontres et de débats permanents comme les ronds-points a également favorisé la cristallisation des positions. À Grenoble, la structure la plus active dans l’opposition à toutes les mesures coercitives et à la vaccination depuis le début du Covid s’appelle Grelive, pour Grenoble, Liberté, Vérité. Un reporter du Postillon est allé à quelques-unes de leurs soirées, mélanges détonants entre musique reggae, monnaie libre, figures d’extrême-droite, cours de sophrologie, récitations de sanskrit, cathos intégristes et désirs d’entraide entre personnes esseulées. C’est parti pour un reportage immersif.

  • Les platitudes d’un anti-conspirateur

    Pendant ces deux années de psychose sanitaire, à Grenoble comme ailleurs, le milieu universitaire a surtout brillé par son absence de toute prise de position critique sur les mesures coercitives mises en place. Les ridicules auto-attestations, les couvre-feux et leurs contrôles, les suspensions de personnels qualifiés non-vaccinés ou le discriminant passe sanitaire et ses amendes astronomiques auraient pu être de riches sujets d’études documentées. Et pourtant, ils n’ont – à notre connaissance – pas fait l’objet de travaux sérieux sortis des centres de recherche grenoblois. Un chercheur de la cuvette est parvenu à profiter de la pandémie pour percer médiatiquement. Non pas en essayant d’armer la critique des dispositifs liberticides mais en s’attaquant à la cible favorite des commentateurs et des partisans du pouvoir : les méchants « complotistes ».

  • Les vestiges de l’abri-culture

    Où aller se réfugier en 2023, quand Poutine (après l’Ukraine, la Pologne et l’Allemagne) se mettra à vouloir dé-nazifier Grenoble ? Dans les années 1980, deux abris anti-atomiques ont été construits dans des parkings grenoblois. Partons à la découverte de ces lieux à l’abandon depuis vingt-cinq ans.

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