Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Histoire en quatre actes

    Sur la page Wikipédia du Dauphiné Libéré, il y a une bibliographie. Dans cette bibliographie figurent les références du bouquin "Pourquoi Le Daubé est-il daubé ?" publié par Le Postillon (éditions Le monde à l’envers).

  • Grève à la ville de Grenoble

    À la ville de Grenoble, c’est comme au niveau national : on parle surtout de sécurité, de sécurité et de sécurité. Depuis plus d’un an, pas un mois ne passe sans que l’on entende parler des policiers municipaux : de leur grève pour demander plus de moyens, de l’extension de leurs horaires, de l’augmentation de leurs effectifs, de leur possible armement...

  • La subvention au culot

    Voilà la carte postale qu’on s’arrache à Grenoble en ce début d’année 2011 et l’explication de l’artiste, Stéphane D., l’artiste qui l’a conçue (...)

  • Pourquoi Le Postillon vote à droite 

    462 sur 1500, ce n’est pas le classement du dernier tube de Pep’s au hit-parade, mais le nombre d’exemplaires du dernier Postillon vendus à la criée lors de trois des manifestations qui ont animé le mois d’octobre. Soit presque le tiers.

  • Postiers à la recherche d’une riposte

    Cet automne, les défilés grenoblois n’auront pas été marqués par les élans de manifestations sauvages d’une jeunesse débordante d’énergie rageuse et ses jets de pommes pourries ou ses renvois de lacrymos. Contrairement aux mouvements de 2006 (CPE) et 2008 (lycées), et contrairement à d’autres villes comme Lyon, les étudiants et lycéens grenoblois sont restés cette année plutôt calmes.
    On retiendra plutôt de cet automne l’impuissance de milliers de salariés remplis de colère. Contre la réforme des retraites bien sûr, mais aussi contre la dégradation de leurs conditions de travail, le népotisme du pouvoir, l’arrogance des élites, etc. Le ras-le-bol et l’exaspération n’ont jamais été aussi profonds depuis des dizaines d’années

  • L’Opération Campus part en cacahuètes

    Cela devait être le projet qui allait redonner le sourire aux étudiants, sauver l’université grenobloise, la faire briller de mille feux et la propulser dans le Top 50 du classement de Shanghai. Mais pour l’instant l’Opération Campus «  Grenoble Université de l’Innovation  » se résume surtout à de petites chamailleries et vives engueulades, liées à l’avidité de ses bâtisseurs et la stupidité de la logique libérale. Le Postillon est parvenu à poser un micro dans une salle de réunion et vous donne un aperçu des tensions et dissensions internes.

  • Les tentacules d’un groupe presque totalitaire

    Bien avant Facebook, Le Dauphiné Libéré a toujours pris soin de se faire beaucoup «  d’amis  ». Découvrons comment l’étendue du réseau de partenariats du quotidien local lui permet de consolider sa position d’institution incontournable et incritiquable.

  • Le service après-vente de l’information locale

    Tête de mule. «  La voie que j’ai tracée avec d’autres, et j’en assume l’entière responsabilité n’était peut-être pas la bonne. Il faut, aujourd’hui, penser autrement le cadre urbain  » (Le Daubé, 21/09/2010). Marc Baietto, président de La Métro, fait semblant de réfléchir suite à l’échec de la rocade nord qu’il a ardemment défendue pendant des années. Mais il ne remet pas en cause les autres grands projets de cette «  voie  »  : Giant, Esplanade, Plan Campus...

  • La Charte de la démocratie participative démontée

    Dans une interview réalisée par les Renseignements Généreux, Camille, ancienne stagiaire à la mairie de Grenoble dans le secteur de la démocratie participative, revient sur son expérience. Elle explique ce qui ne va pas avec la charte de la démocratie participative, dispositif mis en place par la municipalité pour donner aux habitants l’illusion d’une participation.

  • Sécurité. La droite gagne par K.O

    Il y a cinq ans, Michel Destot, dépité-maire, se vantait de «  ne pas avoir la religion de la vidéosurveillance  » (Le Daubé, 11/10/2005) et - de fait - la municipalité ne cédait pas totalement à la tentation sécuritaire en limitant l’installation de caméras, contrairement à d’autres villes socialistes comme Lyon. En janvier dernier, le maire Destot et l’adjoint aux caméras Jérôme Safar ont finalement cédé aux pressions de la préfecture en installant des «  dômes 360°  » sur le parcours des manifestations, mais en cachette, sans le dire, comme s’ils avaient honte d’appliquer les recettes de la droite.

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