On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.
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Derniers articles en ligne
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« C’est un puits sans fond, un casier judiciaire »
M. X., vingt-six ans, sans emploi, sans formation. Accusé d’avoir insulté et menacé (« enculés, fils de putes » « je vais vous planter, je vais vous lamer ») des contrôleurs de la Semitag dans un bus suite à une « fraude pour un arrêt ». Avait un couteau sur lui. A été maîtrisé par les contrôleurs. Deux jours d’ITT pour l’un d’eux et un jour pour un autre suite à l’interpellation. Le juge insiste sur son passé chargé en condamnations :
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Habitat « innovant » ou « partagé » : les copinages de la ville de Grenoble
Fidèle à sa religion l’obligeant à placer partout le vocable « innovation » (ou un de ses dérivés), la Ville de Grenoble a lancé depuis quelques années des appels à projets pour des « habitats innovants ». Voici un exemple d’annonce, publié en janvier 2009 dans les pages des annonces légales du Daubé et des Affiches : « La direction de l’urbanisme de la Ville de Grenoble lance un appel à projet à l’occasion de la cession de 3 biens : cours Berriat, rue Max Dormoy et rue Pascal. L’appel à projets s’adresse à d’autres personnes que des professionnels de l’immobilier ayant un projet d’habitation innovant qui intègrerait une grande qualité environnementale.
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À Grenoble, osez la publicité !
À Grenoble, il y a un support dont tous les publicitaires rêvent : les bulles du téléphérique de la Bastille. Le problème, c’est qu’elles sont très difficile à obtenir : bien que la mairie, propriétaire du téléphérique, aimerait le vendre plus souvent aux publicitaires, elle le fait peu car les grenoblois-électeurs sont assez réticents à ce qu’on touche à ce qui est devenu le symbole de la capitale des Alpes. D’autant que la Bastille est censée être un site patrimonial protégé.
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SuperSafar va-t-il parvenir à prendre la mairie ?
Pensez-vous qu’il soit possible, en France, qu’un même homme cumule les postes de ministre de l’Intérieur, ministre du Budget et ministre de l’Aménagement du territoire ? Non ? Eh bien ce qui n’est pas possible en France l’est à Grenoble.
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Safar, très attaché à la liberté de dire n’importe quoi
En plus d’avoir moult mandats, Jérôme Safar a aussi un certain sens de l’humour. À Télégrenoble (07/11/2011), il déclare : « Je ne suis pas libéral, en revanche je suis très attaché aux libertés »
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Quizz Municipal nécrologique
- Quel maire de Grenoble est mort au cours d’une réunion publique sans terminer son mandat, ce chacal ?
- Quel maire de Grenoble est né et mort à La Morte (c’est la classe, non) ?
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Le Lyon-Turin commence à faire des dégâts.
Le Lyon-Turin, ce projet de nouvelle liaison ferroviaire à travers les Alpes qui prévoit au total la réalisation de 130 kilomètres de tunnels, cumule les avantages pour les élus du coin. Non seulement il permettra de « désenclaver » Grenoble et le reste des Alpes (il faut dire que la région, parsemée d’autoroutes, est vraiment enclavée et loin de tout), mais en plus ce projet, qui devrait coûter près de 24 milliards d’euros, serait « écologique ». Argument fallacieux pour plusieurs raisons, et notamment pour l’impact qu’aura ce chantier colossal sur les territoires traversés.
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Chimie : des fuites... « sans conséquences »
En octobre dernier Le Postillon titrait « à Jarrie, les ravages de la chimie ». Depuis, les fuites en tous genres se succédent, et c’est Le Daubé qui vous en informe, soyez rassurés (...)
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Les magiciens du SMTC
Le SMTC (Syndicat Mixe des Transports en Commun de l’agglomération grenobloise), comme nombre de collectivités locales, utilise régulièrement des images de synthèse pour vanter ses projets. Grâce à ces images, on se projette dans un autre temps, celui du futur, souvent verdoyant, calme et sans aspérité.
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À Échirolles et Pont-de-Claix, la criée interdite
Afin de faire connaître Le Postillon, notre commercial en charge du sud de l’agglomération a tenté de le vendre à la criée sur les marchés d’Échirolles et de Pont-de-Claix. Double échec. A Échirolles, le printemps dernier, il s’est fait interpeller au bout de quelques minutes par une adjointe municipale