Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Moody’s sévit aussi à Grenoble

    C’est le sujet à la mode depuis quelques mois. Pas une journée ne passe sans qu’on parle dans les médias des agences de notation, et notamment d’une des plus grandes d’entre elles : Moody’s.
    Le Postillon se fond dans le moule et vous offre un scoop : Moody’s possède une antenne dans la banlieue grenobloise. Désireux de creuser ce filon porteur, notre grand reporter a dû se déguiser en étudiant en finance pour obtenir un rendez-vous avec le boss de cette agence. Il nous raconte cette formidable aventure.

  • Hervé-Jean Bertrand-Pougnand se fout de la Tronche des Roms

    Connaissez-vous Hervé-Jean Bertrand-Pougnand ? Non ? Nous non plus, ou presque. En l’espace de quelques jours, Bertrand-Pougnand a réussi à sortir de l’anonymat de la cuvette grenobloise en pavoisant dans les médias locaux (France 3 et Le Daubé) le 4 novembre dernier tout en publiant un éditorial nauséabond dans son journal de propagande. Oui, Bertrand-Pougnand détient un journal, et pour cause : il est le maire UMP de la ville de La Tronche.

  • « Deux Arabes qui discutent ensemble, c’est un trafic pour certains »

    Sur la place des Géants, dans le quartier de la Villeneuve, il ne reste plus beaucoup de commerces ni de lieux de vie. La boulangerie a fermé depuis peu, la pharmacie va certainement faire de même bientôt. Parmi les rares lieux encore ouverts, il y a un tabac-presse, tenu par Mehdi. Il y vend Le Postillon et plein d’autres choses.

  • MINATEC : travailler pour sans être d’accord avec

    Cinq ans après son inauguration, que se passe-t-il à Minatec ? Si le lancement du premier pôle européen pour les micro et nanotechnologies avait fait grand bruit, opposant les vivats de la communication et les huées des anti-nanos, depuis on n’en parle pas beaucoup.

  • L’Olivier Pentier, le journaliste intelligent

    Vous avez certainement déjà entendu parler du frigo intelligent, du réveil intelligent, de la maison intelligente ou des compteurs intelligents (voir Le Postillon n°10). Mais sans doute connaissez-vous moins le journaliste intelligent, plus connu sous le nom d’«  Olivier Pentier  », une innovation développée par Le Daubé en partenariat avec le Commissariat à l’énergie atomique et les grandes entreprises de la région. C’est pourtant un outil extrêmement efficace dans la compétition internationale – qui est aussi une guerre de la communication.

  • En pleine grève, La Poste peut remercier Grenews

    Fin octobre, alors que les facteurs du bureau de Poste d’Échirolles sont en grève depuis un mois et décident de camper devant la direction régionale de La Poste dans le centre ville de Grenoble, Grenews publie (n°161) une double page intitulée «  Grenoble : on a distribué votre courrier  ». L’angle de traitement du sujet est simple  : le journaliste suit un facteur sur sa tournée toute une matinée. Il en a ramené quelques photos sympas et un papier. Deux pages qui auraient pu sortir tout droit des tiroirs du service communication de La Poste surtout en cette période de conflit social. Cet article a énervé certains facteurs.

  • «  C’est un puits sans fond, un casier judiciaire  »

    M. X., vingt-six ans, sans emploi, sans formation. Accusé d’avoir insulté et menacé («  enculés, fils de putes  » «  je vais vous planter, je vais vous lamer   ») des contrôleurs de la Semitag dans un bus suite à une «  fraude pour un arrêt  ». Avait un couteau sur lui. A été maîtrisé par les contrôleurs. Deux jours d’ITT pour l’un d’eux et un jour pour un autre suite à l’interpellation. Le juge insiste sur son passé chargé en condamnations :

  • Habitat «  innovant  » ou «  partagé  » : les copinages de la ville de Grenoble

    Fidèle à sa religion l’obligeant à placer partout le vocable «  innovation  » (ou un de ses dérivés), la Ville de Grenoble a lancé depuis quelques années des appels à projets pour des «  habitats innovants  ». Voici un exemple d’annonce, publié en janvier 2009 dans les pages des annonces légales du Daubé et des Affiches : «  La direction de l’urbanisme de la Ville de Grenoble lance un appel à projet à l’occasion de la cession de 3 biens : cours Berriat, rue Max Dormoy et rue Pascal. L’appel à projets s’adresse à d’autres personnes que des professionnels de l’immobilier ayant un projet d’habitation innovant qui intègrerait une grande qualité environnementale.

  • À Grenoble, osez la publicité  !

    À Grenoble, il y a un support dont tous les publicitaires rêvent : les bulles du téléphérique de la Bastille. Le problème, c’est qu’elles sont très difficile à obtenir : bien que la mairie, propriétaire du téléphérique, aimerait le vendre plus souvent aux publicitaires, elle le fait peu car les grenoblois-électeurs sont assez réticents à ce qu’on touche à ce qui est devenu le symbole de la capitale des Alpes. D’autant que la Bastille est censée être un site patrimonial protégé.

  • SuperSafar va-t-il parvenir à prendre la mairie ?

    Pensez-vous qu’il soit possible, en France, qu’un même homme cumule les postes de ministre de l’Intérieur, ministre du Budget et ministre de l’Aménagement du territoire  ? Non ? Eh bien ce qui n’est pas possible en France l’est à Grenoble.