On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.
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Derniers articles en ligne
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Mort du GF38 : Grenoblois, tous coupables et fiers de l’être
L’année footballistique qui vient s’annonce un peu fade : on ne pourra plus avoir la petite joie simple que l’on éprouvait à l’annonce de chaque nouvelle défaite du GF38 pendant les deux dernières saisons.
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Le lièvre et les chemins tortueux
Lecteurs, lectrices, approchez-vous donc que je vous narre un conte moderne (1). L’histoire prend place dans les contrées de Chartreuse, à Saint-Pierre-de-Chartreuse exactement. Une bourgade d’environ 800 habitants située à une trentaine de kilomètres de Grenoble, en plein milieu d’un massif que d’aucuns qualifieraient de charmant, entre forêts épaisses, sommets accessibles, gorges mystérieuses et grandes falaises calcaires. Tellement charmant que depuis 1995, un Parc Naturel Régional est censé protéger l’endroit et préserver son environnement.
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Derrière le mythe Grenoblois : un désert industriel
À Grenoble il n’y a pas de charbon, pas de pétrole, pas de métal précieux. Il y a mieux : à Grenoble, il y a de l’eau. Aux origines de la Cuvette, elle a façonné notre paysage. C’est par elle que l’hydroélectricité autrefois, et la microélectronique aujourd’hui, ont colonisé ce territoire. L’eau est la matière première de l’industrialisation locale, mais elle est surtout à la source des deux mythes industriels locaux : la houille blanche et les nouvelles technologies.
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La métropole trace son sillon
De tout temps, les chefs de guerre ont eu pour principale ambition de diriger un maximum de soldats, pour d’évidentes raisons de supériorité numérique de « chair à canons ». Aujourd’hui où la guerre est devenue économique (en Occident du moins), et où baïonnettes et bunkers ont été troqués contre éprouvettes et « World Trade Center », les dirigeants cherchent toujours à voir grossir la masse de leurs administrés pour pouvoir « peser » au niveau international, et pour la santé de leurs égos. La compétitivité d’un territoire se mesure alors au nombre de ses habitants et à l’étendue de ses constructions.
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« Il est gentil Jeannot »
Directeur du CEA-Grenoble (Commissariat à l’Énergie Atomique) ; directeur de la recherche technologique et directeur délégué aux énergies renouvelables au CEA-France ; membre de l’Académie des Technologies et de multiples conseils d’administration ; président du High Level Group « Key Enabling Technologies » à la Commission Européenne... Jean Therme a des journées bien remplies et n’a rien à envier aux politiques cumulant les mandats. Lui n’a jamais été élu, est inconnu du grand public et porte pourtant de lourdes responsabilités dans des domaines publics.
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La fac, laboratoire de « l’écosystème du Sillon Alpin »
Échec de la candidature aux Jeux Olympiques de 2018, abandon de la Rocade Nord, Bérézina du GF38, retards pour le projet GIANT (suite à l’annulation du PLU par Raymond « Tribunal-administratif » Avrillier), explosion en plein vol de DSK : les élus socialistes grenoblois sont en pleine sinistrose. Heureusement, dans cette avalanche de mauvaises nouvelles, un secteur se porte à merveille et leur donne l’occasion de faire de réguliers communiqués dithyrambiques d’autosatisfaction : l’université. Ici pas de grosse opposition, et une succession de premiers prix dans la course française à « qui va pomper le plus de fric à l’État ». GUI +, Idex, Equipex, Labex, IRT : les responsables collectionnent les distinctions comme les gamins exposent fièrement leurs coupes de cross.
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Comment briller en société grenobloise ?
Père Castor n’est pas que ce vieillard sénile, rabachant à qui veut bien le publier, des histoires de révoltes dépassées où l’on caillasse la flicaille à qui mieux mieux. Derrière les apparences, il n’a pas son pareil pour briller en société. Il vous donne quelques tuyaux pour impressionner vos amis. -
Quel grenoblois êtes vous ?
Pour prendre la tête de votre parti :
1) Vous passez là par hasard
2) Vous assommez le président en place, fracturez le local et falsifiez les résultats des votes
3) Vous attaquez dans le col de porte avec un 34-18 -
Courrier des lecteurs
Le chargé de com’ de Carignon nous écrit suite à notre article « Carignon est encore dans la cuvette », publié dans Le Postillon n° 9 (mars 2011), Michel Tavelle nous a écrit une lettre le 30 avril. Nous la retranscrivons ci-après dans sa totalité et nous permettons quelques commentaires (...)
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Message aux arracheurs d’affiches
Pendant que d’autres se payent de grandes publicités dans des sucettes Decaux, nous collons quelques centaines d’affiches dans les rues de Grenoble à la sortie de chaque numéro du Postillon. Une manière de se faire connaître et d’attirer de nouveaux lecteurs qui n’a pas l’air de plaire à tout le monde.