On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.
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Rumeur de campagne
Le long du cours Berriat, un couple de militants UMP portent des tracts sous le bras. On les accoste : « - Alors comment marche la campagne, c’est pas gagné, hein ?
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Geneviève Fioraso™ l’élue augmentée
Vous avez certainement déjà entendu parler de « l’homme augmenté ». Ce vieux rêve de la science fiction, des eugénistes et des transhumanistes – augmenter les performances humaines grâce aux progrès technologiques - devient réalité dans les laboratoires du monde entier. Le jour où l’on verra des cyborgs dans la rue se rapproche.
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Clinatec :Circulez, y a rien à penser
Peut-on critiquer un médecin qui a sauvé des vies ? Que pensent les ingénieurs ou futurs ingénieurs du Commissariat à l’énergie atomique des recherches autour de l’interface cerveau-machine ? C’est armé de ces deux questions que le dérangé cérébral du Postillon vous dresse un compte-rendu de deux évènements récents : une soirée-débat autour de l’interface cerveau-machine à Saint-Ismier et une manifestation contre l’inauguration de Clinatec, la nouvelle « clinique expérimentale du cerveau ».
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Le pire de la démocratie participative
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Nos amis les journalistes
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Dans les archives du Postillon
Profitant de l’absence renouvelée de Père Castor, nous avons exhumé quelques passages savoureux du Postillon de l’Isère, première version de notre journal ayant existé entre mai 1885 et mai 1886. Ces quelques morceaux choisis permettront au lecteur de se faire une vague idée de l’époque et – pourquoi pas ? – de rire un peu.
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BD / Le quotidien d’une ouvrière sicilienne dans les années 30 à Grenoble
Une page bande-dessinée : le quotidien d’une ouvrière sicilienne dans les années 30 à Grenoble. Épisode 1.
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« On ne contrôle pas l’amour, c’est pour ça que c’est variable »
Le juge : - Vous n’aviez jamais été condamné ?
L’accusé : - Non
Le juge : - Faut bien commencer.