Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • L’imagination au butoir

    « On fait le bilan calmement, en se remémorant chaque instant ». Il y a douze ans, en 2006, c’était la lutte victorieuse contre le CPE (Contrat première embauche) : quelques lascars du Postillon étaient encore étudiants à cette époque.
    Cette année, il y a aussi eu un mouvement étudiant, contre Parcoursup et la loi Ore (Orientation et réussite des étudiants). Comme en 2006, il y a aussi eu une occupation, des blocages de bâtiments, de fortes tensions entre bloqueurs et anti-bloqueurs, mais en 2018 plus personne n’est étudiant dans notre équipe. Ce qui n’empêche pas de comparer rapidement les deux périodes et de faire le bilan de ce qui a changé en douze ans.

  • Comment se soigner sans payer la piscine du pharmacien ?

    Grenoble, ville innovante ? Il arrive fréquemment que la pauvre vieille technopole soit en retard d’un train et que des initiatives percutantes viennent d’ailleurs et pas d’ici. Pour cet épisode : comment se soigner sans payer la piscine du pharmacien. À transposer dans la cuvette. Ou pas.

  • L’autre grève de la gare

    Qui a dit que les grèves ne servaient plus à rien ? Au niveau national, tous les mouvements de protestation échouent ces dernières années sans pour autant entraîner de changement de stratégie de la part des directions syndicales. Mais à un niveau local, un seul jour de grève peut parfois suffire à arracher quelques petites victoires. Le 7 juin les salariés de la Pyrénéenne de nettoyage, entreprise en charge du nettoyage de la gare de Grenoble, ont arrêté de travailler. Ce qui a fait déplacer le grand patron depuis Perpignan et a abouti à quelques avancées.

  • Les forestiers ont la gueule de bois

    Même dans les bois, il y a des manifs. Pourquoi donc ?

  • BD. Particules : plus fines, tu meurs

    Dans Le Daubé (14/04/2018), Luc Federzoni, le directeur de Great (Grenoble alps together) nous explique : « un territoire génère énormément de données (GPS, smartphones,...) qui aujourd’hui sont éparpillées et perdues. [...] Il faut massifier le nombre de capteurs pour avoir des données très fines. Alors on créera une application pour permettre, par exemple, à une maman avec sa poussette de se rendre au parc en prenant le chemin le moins pollué, rue par rue.  »

  • Faim de Polenta !

    Il n’y a pas eu d’avis officiel de décès, mais le numéro de Polenta sorti en février laisse entendre qu’il sera le dernier. L’équipe actuelle faisant tourner le journal indépendant chambérien depuis l’automne 2015 a d’autres plats sur le feu, et personne ne se manifeste pour prendre la suite. Au Postillon, on aimait bien Polenta, et pas seulement parce qu’ils avaient complètement pompé notre maquette. Aussi parce que sa lecture, même incomplète, nous permettait toujours d’entrevoir un bout (…)

  • Courrier d’un Lecteur

    « Salut Le Postillon. J’ai peut-être trouvé le moyen de bannir l’automobile de notre très chère cuvette : plus de permis B délivrés, erreur informatique pour tous ! Je m’explique. énième fois que je passais mon examen pour avoir l’autorisation de conduire des carcasses métalliques d’une tonne dans les grands boulevards. J’étais prêt, installé et là le verdict tombe : ce sera pas encore la bonne ! La faute à un vélo ou un piéton trop téméraire ? Même pas. Resté sur place sans démarrer, (…)

  • Victoire amère à Champberton

    L’été dernier, Le Postillon était allé à la rencontre de Brandao, habitant du 22, rue Garcia Lorca, à Saint-Martin-d’Hères (voir Le Postillon n°41). Il vit dans le bâtiment le plus pourri du quartier le plus pourri de la ville rouge. à l’époque, ses voisins et lui demandaient à la riche propriétaire de faire les travaux dans les parties communes laissées dans un triste état. Depuis cette propriétaire véreuse a vendu l’immeuble à Pluralis, un office HLM. Le quotidien aurait dû s’améliorer (…)

  • Les humains ont-ils une « valeur ajoutée » ?

    A quoi servirez-vous quand il y aura des robots partout ? C’est en substance le genre de questions auxquelles étaient invités à répondre des enseignants de l’Isère. Ces questions avaient pour but de nourrir un mémoire de Gem (Grenoble école de management) voulant répondre à la problématique « quelle sera la valeur ajoutée de l’enseignant face aux nouvelles technologies liées à l’intelligence artificielle ? », mené par un certain Geoffrey Grivelet, étudiant en Masters 2. C’est le genre de (…)

  • Le mur d’escalade connecté

    Dans ce pays d’ingénieurs-grimpeurs, il fallait s’attendre à ce que ça arrive : la grimpe connectée. Le campus de la Brunerie à Voiron va prochainement accueillir un « mur d’escalade connecté ». Qu’est-ce que c’est que ce machin ? « C’est une vraie révolution, s’enthousiasme Denis Garnier. On a libéré un univers qui n’avait pas changé depuis trente ans. » Comment a-t-on pu escalader bêtement toutes ces années sans capteurs, puces RFID et ordinateur ? Denis Garnier est le patron d’une boîte (…)