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  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • La fac, laboratoire de «  l’écosystème du Sillon Alpin  »

    Échec de la candidature aux Jeux Olympiques de 2018, abandon de la Rocade Nord, Bérézina du GF38, retards pour le projet GIANT (suite à l’annulation du PLU par Raymond «  Tribunal-administratif  » Avrillier), explosion en plein vol de DSK : les élus socialistes grenoblois sont en pleine sinistrose. Heureusement, dans cette avalanche de mauvaises nouvelles, un secteur se porte à merveille et leur donne l’occasion de faire de réguliers communiqués dithyrambiques d’autosatisfaction : l’université. Ici pas de grosse opposition, et une succession de premiers prix dans la course française à «  qui va pomper le plus de fric à l’État  ». GUI +, Idex, Equipex, Labex, IRT : les responsables collectionnent les distinctions comme les gamins exposent fièrement leurs coupes de cross.

  • Comment briller en société grenobloise ?

    Père Castor n’est pas que ce vieillard sénile, rabachant à qui veut bien le publier, des histoires de révoltes dépassées où l’on caillasse la flicaille à qui mieux mieux. Derrière les apparences, il n’a pas son pareil pour briller en société. Il vous donne quelques tuyaux pour impressionner vos amis.

  • Quel grenoblois êtes vous ?

    Pour prendre la tête de votre parti :
    1) Vous passez là par hasard
    2) Vous assommez le président en place, fracturez le local et falsifiez les résultats des votes
    3) Vous attaquez dans le col de porte avec un 34-18

  • Courrier des lecteurs

    Le chargé de com’ de Carignon nous écrit suite à notre article «  Carignon est encore dans la cuvette  », publié dans Le Postillon n° 9 (mars 2011), Michel Tavelle nous a écrit une lettre le 30 avril. Nous la retranscrivons ci-après dans sa totalité et nous permettons quelques commentaires (...)

  • Message aux arracheurs d’affiches

    Pendant que d’autres se payent de grandes publicités dans des sucettes Decaux, nous collons quelques centaines d’affiches dans les rues de Grenoble à la sortie de chaque numéro du Postillon. Une manière de se faire connaître et d’attirer de nouveaux lecteurs qui n’a pas l’air de plaire à tout le monde.

  • L’écologie pour riches

    Comment sauver la planète ? En empêchant les pauvres de circuler, pardi. Une Zapa (Zone d’action prioritaire pour l’air) devrait être expérimentée à partir de 2012 sur Grenoble comme dans quatre autres villes françaises.

  • La noix d’honneur

    Décrochée, entre deux powerpoints, par Geneviève Fioraso, députée, adjointe à la ville, vice-présidente de La Métro, présidente-directrice de la SEM Minatec (et supposément opposée au cumul des mandats car membre du P.S.), qui déclarait, un mois et demi avant «  l’affaire  »  : « DSK est celui qu’il nous faut dans ce monde de zapping.

  • Le BTP au secours de «  l’agglo nature  »

    Depuis que la Rocade nord a été recalée (et qu’il essaie de grapiller les voix des écologistes), Marc Baïetto, président de La Métro (communauté de communes), annonce à tout-va qu’il désire construire «  l’agglo post-carbone, l’agglo nature, l’agglo innovante  »

  • Concours de l’innovation la plus stupide

    «  Grenoble carbure à l’innovation  », titrait en novembre dernier Challenges, le magazine de la gauche patronale. Et tous les élus, avec une mention spéciale pour les perroquets Destot et Fioraso, de ressasser ad nauseum, que Grenoble c’est l’innovation, l’innovation c’est la vie, et la vie c’est Grenoble. Mais pourquoi faire ?

  • Démolition du 50, galerie de l’Arlequin : l’étude cachée

    Avec les études publiques, la mairie procède comme avec les sondages : elle n’en parle que quand ça l’arrange. Suivant à la lettre les directives de l’Anru (Agence Nationale de Rénovation Urbaine), qui met son financement sous la condition de la destruction d’habitats, la mairie a décidé depuis un moment de détruire une petite partie du quartier de la Villeneuve, en l’occurrence le 50, galerie de l’Arlequin.