Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • La start-up qui se fout de la modernité

    Cela s’appelle un bug. Coup sur coup, deux des plus grands promoteurs grenoblois de l’Innovation et du Progrès viennent d’émettre des propos critiquant certains aspects de la vie numérique.

  • Copié collé, pas vu pas pris

    Le Daubé daté du 9 décembre 2012 pondait une double page sur le « projet EcoCité  » de la presqu’île avec un encart intitulé « Décryptage » sans dire que la ville de Grenoble avait sorti un dossier de presse en amont.

  • Grenoble, la ville qui formate son histoire

    C’est officiel, la campagne des municipales de 2014 vient d’être lancée. Destot et Safar s’offrent en effet une très belle campagne de propagande pour leur équipe municipale PS-Modem à travers l’opération Grenoble Factory.

  • Oui oui, M. le maire

    Les Nouvelles de Grenoble, l’outil de com’ papier de la ville, nous fait savoir dans le numéro 154 (janvier 2013) que, d’après une nouvelle étude menée par des « sociologues indépendants », les habitants de l’éco-machin De Bonne (...)

  • 500 questions pour un champion

    Grenews (24/01/2013), qui ne manque pas une occasion de faire la com’ de la Ville, annonce un deuxième tchat avec Jérôme Safar, le Jean Reno du boulevard Jean Pain.

  • De Longevialle atteint des sommets

    La décision prise par la mairie de construire des tours d’une centaine de mètres sur les quartiers de l’Esplanade et de la Presqu’île fait polémique depuis plusieurs années.

  • André Vallini, le Grand Promoteur inutile

    Notre pays est en crise économique, notre taux de croissance est au point mort. Heureusement aux plus hauts sommets de l’État règne une caste qui fait tout pour sauver l’essentiel, à savoir notre PIB et le moral des entrepreneurs. Cette caste, c’est celle des Grands Promoteurs inutiles, ceux qui veulent relancer l’économie en mêlant austérité budgétaire, rigueur sociale et défense des grands projets inutiles, du TGV Lyon-Turin au TGV Sud-Ouest, en passant par l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

  • Rez-de-chaussée Vercors

    Au début, j’avais l’intention de rencontrer plusieurs de ces énigmatiques personnages qui vivent dans leur loge en milieu urbain, qui tendent à disparaître et dont tout le monde se contrefout sauf certains habitants et une poignée de facteurs : les concierges. J’espérais qu’ils me raconteraient un peu de leur quotidien, chacun à leur manière. Mais ça ne s’est pas déroulé comme ça. Des loges sont restées fermées à mon arrivée, d’autres étaient définitivement abandonnées. Certains concierges ne voulaient pas témoigner, d’autres ont accepté, mais si peu.

  • Pourquoi il a déserté son emploi de cadre informatique

    Les politiques locaux et nationaux répètent en boucle que la « priorité des priorités », c’est « l’emploi, l’emploi et l’emploi ». Une religion qui ne questionne jamais le sens de ces emplois, les dégâts qu’ils créent, la société qu’ils produisent. À l’heure de la « réindustrialisation », la remise en cause radicale de notre mode de vie est loin d’être à l’ordre du jour. Pourtant, même à l’intérieur des entreprises de nouvelles technologies, censées représenter l’avenir de Grenoble et du monde, certains n’arrivent plus à applaudir à ce qu’on leur fait faire contre un salaire. Et vont jusqu’à déserter cette « mine d’or ».

  • Caf toujours, tu m’intéresses

    Encore une grève qui passe inaperçue dans les médias. Depuis le 9 octobre, des syndicats de la Caisse d’allocations familiales de l’Isère ont déposé un préavis de grève (débrayage d’une petite heure) tous les jeudis, reconductible jusqu’à la fin de l’année. À ce jour - 3 décembre -, pas l’ombre d’un entrefilet dans Le Daubé. Les salariés de l’organisme subissent une dégradation de leurs conditions de travail et les usagers font face aux complexifications de la législation. Selon le rapport d’activité 2011 de la Caf Isère, le département compte 216 000 allocataires qui permettent de couvrir 610 000 personnes. Ce qui signifie que plus de la moitié de la population iséroise bénéficie de prestations sociales. Pendant ce temps-là, devant les Caf, les files d’attente s’allongent.

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