Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • La démocratie de la vidéo surveillance

    A l’heure des délocalisations et fermetures d’entreprises, s’il y a un secteur qui ne connaît pas la crise c’est bien la sécurité privée, avec un chiffre d’affaire en croissance annuelle de 9% depuis 1998. Protection de bâtiments publics, de chantiers, de maisons individuelles : le marché est gigantesque et les entreprises à avoir flairé le bon filon nombreuses.

  • La caravane publicitaire des nanos passe à Grenoble

    En 1990, à l’occasion de la suppression des PTT et devant l’hostilité des Français, le gouvernement socialiste organise un grand débat public pour faire passer le projet malgré la contestation. Suite au succès de l’opération, la Commission Nationale du Débat Public naît en 1995 afin d’endormir par la parole tous les opposants aux projets étatiques. Cette année, rebelote : la Commission organise un grand débat national autour des nanotechnologies dans 17 villes françaises.

  • Compétitivité à la noix

    En Isère, les responsables politiques raisonnent toujours en termes de compétitivité, qu’ils parlent des nanos ou de noix. André Vallini, au cours d’un discours lors des 80 ans de la coopérative nucicole Coopenoix, a incité les producteurs isérois à «  planter davantage de noyers  » car «  l’Isère a un rôle à jouer dans la conquête de nouvelles parts de marché  ».

  • De Bonne en quartier modèle écolo : un prix pipé

    «  Grenoble, vitrine d’un nouvel urbanisme  » (L’express, 04/11/2009), «  La ZAC de Bonne de Grenoble, vitrine des éco-quartiers français » (Novethic, 06/11/2009)... Une avalanche d’articles de presse élogieux a accompagné la remise à la ville de Grenoble et son quartier de Bonne du « grand prix écoquartiers 2009 » par Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie et du vin rouge

  • Un tram pour des habitants ou des habitants pour un tram ?

    Le 3 octobre dernier à l’Hôtel de ville, au cours d’une réunion publique sur le réaménagement de l’Esplanade, Michel Destot, maire de Grenoble et Jacques Chiron, adjoint aux déplacements, légitiment leur projet de construction de milliers de logements par la future arrivée du tram E : «  C’est parce qu’on va apporter des habitants que le tram aura son utilité (...) Une condition de cette ligne E, c’est que les communes s’engagent à densifier » (Chiron).

  • Précision

    « Incroyable ! Vallini s’expose au CNAC ! », « Hallucinant, ce graff de Migaud, il est où ce mur ?  ». Plusieurs lecteurs nous ont fait part de leur étonnement en découvrant les photomontages du précédent numéro du Postillon.

  • Edito

    «  Ah non je crois que ça ne va pas être possible. Ici, on ne met pas de choses qui critiquent Destot et la mairie. C’est un service public municipal, c’est la mairie qui nous finance, alors voilà c’est dommage mais on peut pas laisser ça à la lecture  » répond une employée de la bibliothèque Saint-Bruno à qui l’on demandait de laisser en libre consultation les deux premiers numéros du Postillon.

  • Cité Jean Macé : Le «  dernier village gaulois  » survivra-t-il à la métropole ?

    Après la démolition-reconstruction de leurs immeubles, les habitants de la cité HLM Jean Macé s’apprêtent à voir pousser 11 tours de 30 mètres dans le terrain vague voisin. Ces changements affecteront-ils l’ambiance «  villageoise  » régnant au sein de cette vieille cité ouvrière ?

  • Pourquoi le Daubé est-il daubé ?

    C’est une affaire entendue depuis des dizaines d’années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d’attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle le Dauphiné Libéré le « Daubé ». Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l’expliquer. D’où vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ?

  • Do you love Gre ?

    Ils auront été la nouveauté du Cabaret Frappé 2009 : des jeunes, en groupe, vêtus de tee-shirts bleus estampillés «  I love Gre  » d’un côté et «  tranquil’été  » de l’autre, déambulant, un peu perdus au milieu des mondanités du Jardin de Ville. Embauchés par la Mutuelle des Etudiants (LMDE), mais salariés par la ville de Grenoble, ils ont pour mission de ramener le calme au centre-ville en raisonnant les fêtards.