Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Le petit village de Grenoble recule

    A la surprise générale, la commission d’enquête sur la rocade nord a rendu un avis franchement négatif sur l’utilité de cet ouvrage, donnant raison à tous les arguments des anti-Rocade.

  • J.O. ou développement durable, c’est tout com’

    Stéphane Siebert, adjoint aux J.O. et au développement durable, justifie après coup la candidature grenobloise ratée aux J.O. de 2018 par «  l’impact sur la notoriété nationale de Grenoble, grâce à sa médiatisation.

  • Grenoble champion !

    «  Grenoble, Champion de France 2010 des énergies renouvelables, Ruban du Développement durable 2009/2011. Grenoble, éco-cité exemplaire distinguée en novembre dernier par le Grand Prix national éco-quartier pour le projet de Bonne  » clame le maire de Grenoble [3].

  • Appel à dons pour Carignon

    Pour de vieilles histoires lui ayant déjà valu de la prison, l’ancien maire de Grenoble Alain Carignon et son ex-directeur de cabinet Xavier Péneau doivent encore rembourser 253 126 euros au conseil général de l’Isère.

  • Edito

    En pleine crise, enfin des bonnes nouvelles ! Le groupe «  Le Postillon  » a connu d’excellents résultats pour le second semestre 2009. Avec le tirage de plus de 1000 exemplaires pour chacun des deux derniers numéros, nous avons réussi à consolider notre capital de départ et pouvons envisager de formidables perspectives de développement.

  • A.ï.e. t.e.c.h....

    Vous connaissez les inventaires de Prévert ? On y retrouve tout et n’importe quoi, pas forcément dans un ordre très logique. Là, c’est pareil sauf qu’il ne s’agit pas d’un inventaire et qu’on ne s’appelle pas Prévert. Résultat : un article débridé où l’on parle de sondage caché, de propagande municipale, des J.O, des pôles de compétitivité, des MJC, de pauvreté, de débat sur les nanos, de défense de l’emploi et du totalitarisme. Le tout à Grenoble, bien entendu.

  • Pourquoi le Daubé est-il daubé ?

    C’est une affaire entendue depuis des dizaines d’années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d’attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle le Dauphiné Libéré le « Daubé ». Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l’expliquer. D’où vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ?

  • Un œil sur les manifs

    Plus d’un an et demi après l’avoir annoncé, la municipalité grenobloise installe des caméras «  dôme 360°  » sur le parcours des manifestations sans en informer la population. La bande à Destot qui jusque là rechignait à développer la vidéosurveillance à outrance, projette d’installer également des caméras dans le centre-ville, au quartier Capuche et au Village Olympique.
    Gênée aux entournures sur ce sujet sensible, elle prend ces décisions dans la plus grande opacité et communique dessus avec parcimonie.

  • « Loin, large et profond » : La méthode Mactor

    «  Jusqu’ici le secret a été bien gardé ». C’est ainsi que Le Daubé évoqua la préparation de Giant lors de sa présentation publique, le 19 octobre 2007. Car Giant – comme les autres grands projets de développement – a été préparé en secret. Puis, après deux ans de réunion où tout a été planifié, le projet Giant a été présenté aux élus et aux habitants, enrobé de grandes phrases : «  Rien n’est décidé  », «  tout sera fait en concertation avec les habitants  », «  ce projet est le vôtre  »...

  • Et ton bilan Carbone, coco ?

    Destot a enfilé depuis peu les habits de SuperEcolo, prêt à changer le monde à coups de bâtiments HQE, de lignes de tram et de techno-ville compacte. Mais pour que son hypocrisie soit crédible, il reste à Michel «  Green  » Destot à travailler un petit point, nommé par les écolos historiques «  le bilan carbone  ».