On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.
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Derniers articles en ligne
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Un projet GIANT pour les patrons
Quel lieu a choisi Jean Therme, le directeur du CEA-Grenoble, pour dévoiler les nouveaux plans de GIANT - Grenoble Isère Alpes Nano Technologies -, projet de développement scientifique et de requalification urbaine de la presqu’île ?
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Edito
Des lecteurs nous ont reproché l’omniprésence de l’image de Michel Destot dans le numéro zéro du Postillon. "Mais c’est de l’acharnement ?" beuglât l’un d’entre eux. "En voulant le critiquer, vous tombez dans le culte de la personnalité..." gémit un autre. "Votre critique acérée gagnerait si elle opérait une dépersonnalisation afin de cibler les mécanismes des structures des dispositifs du pouvoir..." s’insurgea, sans vraiment qu’on le comprenne, un dernier. Devant ces réactions nous sommes contraints de fournir quelques explications.
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Les Papeteries de Lancey au pilon
Septembre 2008, le couperet tombe : le groupe Matussière & Forest, propriétaire de quatre papeteries en Isère, en Ariège et dans le Haut-Rhin, est mis en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Grenoble.
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Pourquoi le Daubé est-il daubé ?
C’est une affaire entendue depuis des dizaines d’années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d’attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle le Dauphiné Libéré le « Daubé ». Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l’expliquer. D’où vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ?
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De Bonne : des quartiers militaires au quartier policé
Avec près de 10 hectares de chantier, la « ZAC De Bonne » est une des plus grosses opérations immobilières du moment à Grenoble. Entre le centre-ville et les grands boulevards, ce qui fût autrefois une caserne militaire accueille aujourd’hui l’imposante machine de guerre de toute métropole qui se respecte : ouvrier.e.s, pelleteuses, grues et bétonnières chamboulent la zone depuis plusieurs mois dans le but de créer un nouveau quartier.
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La métropole avance
C’est bien connu : pour vivre heureux il faut attirer les investisseurs, et pour attirer les investisseurs il faut être une métropole. Les élus des grandes villes rhône-alpines s’échinent donc pour faire grandir leur "ensemble urbain" et coloniser toutes les campagnes alentours.
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Safar s’enflamme, la Villeneuve brûle
Après l’énorme taux d’abstention [3], c’est le fait marquant des élections européennes à Grenoble : le gymnase qui abritait le bureau de vote de la Villeneuve a pris feu dimanche soir, à la fin du dépouillement. Comme il est d’usage, il se dit que "l’origine est probablement criminelle". Les responsables politiques - mairie et préfecture - sont donc montés au créneau dans les médias pour dénoncer un "acte inqualifiable".
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François Brottes cé tro top. on kif.
Le député isérois François Brottes est "peu friand des nouvelles polémiques mais suffisamment au fait de certains dossiers pour proposer de nouvelles idées. C’est l’exemple même du bon député" pour le Daubé du 16 mai 2009.
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Une "conduite de Grenoble" pour les investisseurs ?
Saviez-vous que l’expression - en voie de disparition - "faire une conduite de Grenoble" signifie en gros "mettre brutalement une personne à la porte ou la raccompagner en la molestant et en l’injuriant".
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Le CEA-Grenoble montre la voie dans l’impasse de la croissance verte
Grenoble cultive, entre autres mythes, celui d’être la ville-reine de l’écologie. Et ce depuis Alain Carignon, ancien maire de la ville et premier "ministre de l’environnement" français.