On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.
Le site du journal Le Postillon
Derniers articles en ligne
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Les « vrais fonctionnaires » sont-ils des feignants ?
Encore une démonstration de la prose néo-libérale de Destot. Cette fois, ça se passe lors d’une réunion de mobilisation des entreprises de la « Zone Franche Urbaine Villeneuve Village Olympique », le 3 décembre dernier.
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Question à un milliard d’euros
Quels sont les noms des personnes en charge de développer la Rocade Nord, à savoir le vice-président de la Métro en charge des déplacements, le vice-président du conseil général en charge des transports et le président du Syndicat mixte des transport en commun (SMTC) ?
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Qui sont les véritables amis de la mairie ?
A toutes les associations galérant pour obtenir quelques centaines d’euros de subvention de la mairie de Grenoble, nous rappelons quelques chiffres des « subventions aux associations 2010 », votées lors du conseil municipal le 14 décembre dernier.
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Edito
A quoi bon ? A quoi bon tenter de faire un journal local indépendant, d’analyser l’évolution regrettable de tel quartier, de critiquer les orientations politiques prises par tel baron local, de parler de telle lutte occultée, de décortiquer la communication municipale ou para-municipale (Le Dauphiné Libéré) ? A quoi bon ces heures de recherches d’infos, d’écriture, de diffusion et de vente ?
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Pourquoi le Daubé est-il daubé ?
C’est une affaire entendue depuis des dizaines d’années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d’attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle le Dauphiné Libéré le « Daubé ». Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l’expliquer. D’où vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ?
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Villeneuve, l’utopie à l’agonie
Portés par l’esprit de 68, les concepteurs du quartier de la Villeneuve entendaient « changer la ville pour changer la vie ». Près de quarante ans plus tard, un projet de rénovation se prépare pour changer l’image de ce quartier stigmatisé en cité. Cette « utopie des années 70 » était-elle une chimère ? Qu’en reste-t-il ?
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Une même ville de Genève à Grenoble
Lors d’une conférence entre amis, Jacques Champ, économiste à la retraite, a dit tout haut ce que beaucoup n’imaginent pas, même tout bas : entre Genève et Grenoble se construit peu à peu une continuité urbaine, qu’il s’agit de rendre « cohérente » en actant la naissance d’une métropole.
Lui trouve ça génial, et vous ? -
De la Banque Postale à la Poste Bancale (1)
Au détour d’une rue, un facteur grenoblois, prudemment anonyme, témoigne : « De toute façon, la privatisation, cela fait un moment qu’elle se prépare. Déjà depuis plusieurs années, on ne doit plus parler d’ « usagers » de La Poste mais de « clients », ce qui est très symbolique du changement de logique.
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De la Banque Postale à la Poste Bancale (2)
Le « référendum citoyen » organisé contre la privatisation de La Poste le samedi 3 octobre a connu à Grenoble comme ailleurs en France un certain succès.
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Chamboulement dans les Chambarans
Connaissez-vous les Chambarans ? Non ? C’est normal : pour l’instant il n’y a rien là-bas. Rien d’intéressant : ni centrale nucléaire, ni pôles technologiques, ni grandes entreprises. Tout juste trouve-t-on un camp militaire. Et puis des petits villages, des étangs et quelques paysans. Et surtout des forêts. Partout. Des arbres sur des centaines d’hectares.