Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • Edito

    A quoi bon ? A quoi bon tenter de faire un journal local indépendant, d’analyser l’évolution regrettable de tel quartier, de critiquer les orientations politiques prises par tel baron local, de parler de telle lutte occultée, de décortiquer la communication municipale ou para-municipale (Le Dauphiné Libéré) ? A quoi bon ces heures de recherches d’infos, d’écriture, de diffusion et de vente ?

  • Pourquoi le Daubé est-il daubé ?

    C’est une affaire entendue depuis des dizaines d’années : dans les bistrots, les ateliers, les salles d’attente ou les chaumières ; à Grenoble ou ailleurs, on appelle le Dauphiné Libéré le « Daubé ». Ce surnom lui va si bien, résonne tellement comme une évidence que personne ne se donne la peine de l’expliquer. D’où vient-il ? Un hasard, un mauvais jeu de mots ? On ne sait pas. Le Dauphiné Libéré est daubé, voilà tout. Pourquoi perdre son temps à le démontrer ?

  • Villeneuve, l’utopie à l’agonie

    Portés par l’esprit de 68, les concepteurs du quartier de la Villeneuve entendaient «  changer la ville pour changer la vie  ». Près de quarante ans plus tard, un projet de rénovation se prépare pour changer l’image de ce quartier stigmatisé en cité. Cette «  utopie des années 70  » était-elle une chimère ? Qu’en reste-t-il ?

  • Une même ville de Genève à Grenoble

    Lors d’une conférence entre amis, Jacques Champ, économiste à la retraite, a dit tout haut ce que beaucoup n’imaginent pas, même tout bas : entre Genève et Grenoble se construit peu à peu une continuité urbaine, qu’il s’agit de rendre «  cohérente  » en actant la naissance d’une métropole.
    Lui trouve ça génial, et vous ?

  • De la Banque Postale à la Poste Bancale (1)

    Au détour d’une rue, un facteur grenoblois, prudemment anonyme, témoigne : «  De toute façon, la privatisation, cela fait un moment qu’elle se prépare. Déjà depuis plusieurs années, on ne doit plus parler d’ « usagers  » de La Poste mais de «  clients  », ce qui est très symbolique du changement de logique.

  • De la Banque Postale à la Poste Bancale (2)

    Le «  référendum citoyen  » organisé contre la privatisation de La Poste le samedi 3 octobre a connu à Grenoble comme ailleurs en France un certain succès.

  • Chamboulement dans les Chambarans

    Connaissez-vous les Chambarans ? Non ? C’est normal : pour l’instant il n’y a rien là-bas. Rien d’intéressant : ni centrale nucléaire, ni pôles technologiques, ni grandes entreprises. Tout juste trouve-t-on un camp militaire. Et puis des petits villages, des étangs et quelques paysans. Et surtout des forêts. Partout. Des arbres sur des centaines d’hectares.

  • La démocratie de la vidéo surveillance

    A l’heure des délocalisations et fermetures d’entreprises, s’il y a un secteur qui ne connaît pas la crise c’est bien la sécurité privée, avec un chiffre d’affaire en croissance annuelle de 9% depuis 1998. Protection de bâtiments publics, de chantiers, de maisons individuelles : le marché est gigantesque et les entreprises à avoir flairé le bon filon nombreuses.

  • La caravane publicitaire des nanos passe à Grenoble

    En 1990, à l’occasion de la suppression des PTT et devant l’hostilité des Français, le gouvernement socialiste organise un grand débat public pour faire passer le projet malgré la contestation. Suite au succès de l’opération, la Commission Nationale du Débat Public naît en 1995 afin d’endormir par la parole tous les opposants aux projets étatiques. Cette année, rebelote : la Commission organise un grand débat national autour des nanotechnologies dans 17 villes françaises.

  • Compétitivité à la noix

    En Isère, les responsables politiques raisonnent toujours en termes de compétitivité, qu’ils parlent des nanos ou de noix. André Vallini, au cours d’un discours lors des 80 ans de la coopérative nucicole Coopenoix, a incité les producteurs isérois à «  planter davantage de noyers  » car «  l’Isère a un rôle à jouer dans la conquête de nouvelles parts de marché  ».