Actualités

  • La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise

    On a fait un nouveau hors série ! Mais plutôt que de choisir l’option brochure (comme Mélancolie postale ou STMicro, gros dégâts des eaux) on a fait le choix cette fois-ci d’en faire un vrai bouquin qu’on autoédite à 1000 exemplaires. « La noix connectée – le meilleur du pire de l’innovation grenobloise » – sortira autour de mi-mars et proposera 115 pages pour dix balles. Il sera disponible dans un certain nombre de points de vente (librairies et tabac-presse) qu’on démarchera à partir de mi-mars. Ce sera aussi bien entendu possible de le commander par correspondance, contre douze euros frais de port compris, à envoyer en espèces ou en chèque à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès 38600 Fontaine. En attendant voilà un bout de notre préface.

Derniers articles en ligne

  • L’ultra-libéralisme rentre dans les cordes des Musiciens du Louvre

    C’est officiel depuis fin août : Pascal Lamy est le nouveau président des Musiciens du Louvre, l’ensemble grenoblois de musique baroque et classique dirigé par Son Excellence Marc Minkowski.
    L’occasion de rappeler le curriculum vitae de ce socialo-ultra-libéraliste, très symbolique de l’évolution d’une certaine gauche.

  • Bachelut embêté par Chapuzot

    Il y a 124 ans dans Le Postillon de l’Isère : Surfant sur la mode estivale suivie par plusieurs quotidiens nationaux d’exhumer ses archives, nous reproduisons tel quel un article du Postillon n°2, datant du 24 mai 1885.

  • Industries partout, baignade nulle part

    «  Les eaux de baignade sont de bonne qualité en Isère  ». La Préfecture – relayée par les médias locaux – s’est enorgueillie, en plein milieu du caniculaire été grenoblois, de la «  bonne qualité microbiologique des 25 baignades répertoriées dans le département  » (communiqué de presse du 7 août)

  • De l’eau pour les puces éleCtroniques mais pas pour les légumes

    Suite à un printemps et un été avares en précipitations, les nappes phréatiques de l’Isère sont comme les caisses de la ville de Grenoble après une candidature ratée aux JO : vides. Ou presque. Alors le peu d’eau qu’il reste, la Préfecture a décidé d’en prendre soin en prenant des mesures de restriction. Depuis fin août, la quasi-totalité du département est placée en «  sécheresse aggravée  », ce qui implique interdiction totale de l’arrosage individuel ou communal et de l’irrigation agricole.

  • Les poumons sauvés par la crise

    N’avez-vous pas trouvé ça bizarre ? Des mois de beau temps, très peu de pluie et de vent, et pas de pic de pollution dans la cuvette... Des températures frôlant régulièrement les 40°, et seulement deux jours – entre juin et août – de limitation de vitesse dans la cuvette. « Normalement, avec de telles chaleurs, on devrait déjà avoir limité les vitesses maximales autorisées », explique Marie-Blanche Personnaz directrice de l’Ascoparg (association pour le contrôle et la préservation de l’air dans la région grenobloise).

  • L’Isère : premier sur la délation ?

    Ca fait toujours plaisir d’avoir des nouvelles des «  copains d’avant  » : Jean-Claude Borel-Garin, ancien Directeur Départemental de la Sécurité Publique en Isère est parti depuis début mars prendre la tête de la police de l’Essonne. Le super-flic vient de mettre en place un système de délation par Internet (ou il suffit d’envoyer un mail pour dire tout le mal que l’on pense de son voisin), créant une polémique médiatique.

  • Bienvenue à Pont-de-Claix

    Les jours se suivent et les alertes se ressemblent à Pont-de-Claix, connue internationalement pour sa plateforme chimique. Le 1er septembre, une équipe de rugby s’entraînant au sud de la plate-forme a ressenti une forte odeur chimique, piquant les yeux.

  • Un projet GIANT pour les patrons

    Quel lieu a choisi Jean Therme, le directeur du CEA-Grenoble, pour dévoiler les nouveaux plans de GIANT - Grenoble Isère Alpes Nano Technologies -, projet de développement scientifique et de requalification urbaine de la presqu’île ?

  • Edito

    Des lecteurs nous ont reproché l’omniprésence de l’image de Michel Destot dans le numéro zéro du Postillon. "Mais c’est de l’acharnement ?" beuglât l’un d’entre eux. "En voulant le critiquer, vous tombez dans le culte de la personnalité..." gémit un autre. "Votre critique acérée gagnerait si elle opérait une dépersonnalisation afin de cibler les mécanismes des structures des dispositifs du pouvoir..." s’insurgea, sans vraiment qu’on le comprenne, un dernier. Devant ces réactions nous sommes contraints de fournir quelques explications.

  • Les Papeteries de Lancey au pilon

    Septembre 2008, le couperet tombe : le groupe Matussière & Forest, propriétaire de quatre papeteries en Isère, en Ariège et dans le Haut-Rhin, est mis en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Grenoble.