
Il est peu de sentiment aussi lugubre, humiliant et déconcertant que de tirer sans fin une chasse d’eau, sans pouvoir se débarrasser d’un étron tenace et narquois. On éprouve ce sentiment avec chaque photo ou déclaration d’Alain Carignon dans Le Daubé.
Voici un repris de justice, résidant entre Paris et Marrakech, la ville des sybarites et touristes sexuels, n’ayant aucun moyen d’existence connu, qui arrive encore à diriger localement le parti majoritaire et à troubler la vie politique grenobloise sans qu’aucun journaliste ne lui demande d’où viennent ses revenus, ni où il demeure exactement.