Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Cuvetto-Quizz

    1) Quel illustre inconnu-e a séjourné dans la commune de Domène en 1934 ?
    a - Jeanne Calment qui était à un doigt de la retraite avec ses 59 ans et cherchait un domaine où habiter.
    b - Léon Trostky, poursuivi par les méchants staliniens piolets entre les dents.

  • Les services de la ville de Grenoble ont-ils un attachement particulier au scanner ?

    Parmi les multiples vantardises de l’équipe municipale en poste à Grenoble, deux sont récurrentes : Grenoble serait une ville à la pointe de la «  démocratie participative   » et de la «  politique numérique  », prétention appuyée par l’obtention «  pour la quatrième année consécutive  » du «  Label 5 arobases  » (...)

  • Au lieu de participer, allez bosser à Eiffage !

    Vous ne vous rendez pas compte de la chance que vous avez. Du 4 mai au 4 juillet, vous avez le droit, en tant qu’habitant de la communauté de communes de La Métro, de donner votre avis lors de l’enquête publique sur le Schéma de cohérence territoriale autrement appelé «  Scot  » 2030.

  • Les soviets, plus les magasins

    «  Elle habite quelque part, dans une banlieue rouge, mais elle vit nulle part, y’a jamais rien qui bouge  ». Depuis l’écriture de cette chanson en 1981, les temps ont changé. Non seulement la société a eu Renaud, qui a noyé sa plume dans l’alcool et la dépression  ; mais surtout, dans les banlieues rouges «  y’a  » plein de choses qui bougent.
    En matière de banlieue rouge, l’agglomération grenobloise est plutôt bien lotie avec trois communes dirigées par le parti communiste totalisant près de 100 000 habitants.

  • Grenoble : les naufragés de Tripoli

    Ils sont Soudanais, Erythréens et Somaliens. Persécutés, ils ont quitté leur pays pour travailler en Libye. Jusqu’à ce que les bombardements de l’Otan au printemps 2011 et la chute du régime de Kadhafi les poussent une nouvelle fois à l’exil.
    Une trentaine d’entre eux a vécu à Grenoble dans un squat insalubre à deux pas de la préfecture avant d’occuper un immeuble vide à Fontaine. Tous ont fait une demande d’asile avec l’espoir d’obtenir le statut de réfugié pour rester en France. Un statut que très peu d’entre eux ont obtenu, l’État faisant tout pour les mettre dans une situation administrative inextricable.

  • Eve : une tentative de putsch avortée

    C’est une histoire d’association étudiante. Une assemblée générale tendue, un syndicat étudiant, l’Unef, désirant être éternellement majoritaire, une tentative de putsch, un contre-putsch, etc. Au premier abord rien de très intéressant pour les Grenoblois n’ayant jamais connu le campus, ou l’ayant quitté depuis longtemps. Mais en fait cette affaire nous concerne tous. Tout d’abord parce que la salle Eve (Espace de Vie Etudiante), même si elle est implantée sur le campus, est une des principales salles associatives de la cuvette et qu’elle a déjà dépanné nombre de groupes à la recherche d’un espace.

  • Varces au parloir

    A la maison d’arrêt de Varces le parloir est l’un des rares liens que les prisonniers ont avec le monde extérieur. Une proche de détenu témoigne.

  • Le «  torchon de luxe  » répond à Fioraso

    Rompant avec les habitudes des notables locaux qui réagissent aux écrits du Postillon uniquement par l’indifférence, la multi-mandatée Geneviève Fioraso s’est fendue d’un billet sur son blog (le 20/02/2012) pour répondre à l’article qui lui était consacré dans le dernier numéro du Postillon. Nous ne résistons pas au plaisir de vous faire lire sa prose, entrecoupée de nos commentaires.

  • La guerre des Boutons

    Grenoble, 1906. Il y a un an que la Confédération Générale du Travail, alors anarcho-syndicaliste et révolutionnaire, est majoritaire à la Bourse du Travail. Depuis le début de l’année, elle mène une vigoureuse campagne pour la journée de 8 heures. Pour la première fois à Grenoble, le 1er mai a été chômé, et les manifestants ont obligé les commerçants à fermer leur enseigne. C’est dans ce contexte, vers la fin de l’été, que Grenoble va connaître les grèves et manifestations ouvrières les plus violentes de son histoire.

  • BD / Le passé ouvrier à Grenoble, l’antifascisme en 1934

    Une page bande-dessinée :Le passé ouvrier à Grenoble, l’antifascisme en 1934. Épisode 2.

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