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Articles de ce numéro

  • Pour réenchanter Grenoble : si on rasait le stade des alpes ?

    Rappelez-vous, c’était en 2003/2004 : la construction du grand stade avait suscité une vive opposition. Une manifestation de 4000 personnes. Trois mois de camping dans les arbres du Parc Paul Mistral pour quelques dizaines «  d’écocitoyens  ». Une expulsion musclée. Des dizaines de recours devant les tribunaux. Des milliers de tracts, d’affiches, d’autocollants, de pétitions. Le stade a été – malgré la volonté de ses promoteurs – un des grands sujets de controverse locale du début des années 2000.

  • Caméras cachées, la suite

    Depuis la parution du dernier numéro du Postillon, la contestation de la vidéosurveillance s’est amplifiée.
    Rappel sommaire de quelques faits.

  • Le conseil municipal et ses pantins

    Mais comment se déroule un conseil municipal ? Simple chambre d’enregistrement des décisions prises en catimini par les pontes de la mairie ou réel espace de débat «  démocratique  » ? Ouvert au public, le conseil municipal est-il une cour de récréation ou un théâtre de Guignol ?

  • Carences pour l’hébergement d’urgence

    Saviez-vous que l’État a l’obligation légale d’offrir un hébergement d’urgence aux personnes dormant dans la rue ? Mais qu’en Isère, au printemps comme en hiver, cette obligation est loin d’être respectée ? Après un petit topo des principes de l’hébergement d’urgence, la section «  travail social  » du Postillon mesure le décalage entre les textes de lois et les réalités iséroises de ces derniers mois.

  • Grenoble – Ouaga  : Secret Stories

    Novembre 2009. Grenoble fêtait ses 10 ans de jumelage avec Ouagadougou, capitale du Burkina Faso. Cet échange nous est vendu comme une référence en matière de coopération décentralisée. Avec l’émotion en prime. «  Ensemble, c’est tout  », c’est le ton des Nouvelles de Grenoble1 pour dresser régulièrement le portrait d’une histoire qui marche. Dessous d’une saga qui tourne mal.

  • Michel «  Radis d’or  » Destot

    Une fois de plus, notre dévoué maire a vu ses efforts récompensés. Après avoir travaillé pendant tant d’années, s’être dépensé sans compter, voilà qu’il vient d’accrocher une nouvelle décoration à sa veste déjà parsemée de médailles. Le journal Fakir vient de lui remettre le «  radis d’or  », récompensant le «  moins socialiste des socialistes  ».

  • Faits divers et différents

    Le «  lynchage d’un jeune cartographe  » début avril a fait l’objet dans le Daubé de 4 unes consécutives, d’une manchette et d’une dizaine d’articles. Total : 20 524 caractères, sans compter l’ample médiatisation nationale.

  • Le pouvoir de la barbiche

    Après les Forums Libération 1 et 2, après les Rencontres de la «  Nouvelle Critique Sociale  » et «  Réinventer la démocratie  », la MC2 accueille à nouveau un pince-fesses du 18 au 20 juin prochain. Libération s’acoquine cette fois ci avec Le Nouvel Obs pour organiser les «  Etats Généraux du Renouveau  ». Du renouveau de quoi ? De journaux moribonds à la recherche d’annonceurs et d’une visibilité en province ?

  • Le «  produit Grenews  »

    Impossible de passer à côté du centième numéro de Grenews, le gratuit grenoblois lancé par le groupe Le Dauphiné Libéré (voir «  Pourquoi le Daubé est-il daubé », Le Postillon N°4). 60 000 numéros tirés au lieu de 40 000, et des pubs dans les sucettes de la ville pour marquer cet événement majeur. Le «  produit Grenews  » ne manque pas de thune.

  • Et voilà l’interview intelligente

    Sur le site de Destot, on pouvait lire, le 10 mai 2010 : «  Je vous invite à lire l’interview que j’ai accordée au Monde.fr, au sujet des liens étroits entre nouvelles technologies, attractivité économique et qualité de vie au sein des métropoles à l’heure de la mondialisation.  » Bonnes poires, on clique sur le lien, qui nous amène, non pas au site du Monde.fr, mais à une de ces succursales, réalisée «  en partenariat avec IBM  » et répondant au doux nom de «  planete-plus-intelligente.lemonde.fr  ».

  • Grenoble sur la voie de Singapour ?

    Dans cette fameuse «  interview  », Destot dit «  regarder attentivement l’expérience de Singapour qui a réussi le mariage entre développement et aménagement urbain (...)  ».

  • Censure municipalo-préfectorale

    Le 10 mai, c’est la «  journée de la mémoire de la Traite Négrière, de l’Esclavage et de leur abolition  ». Depuis plusieurs années a lieu une commémoration à Grenoble. C’est l’occasion d’un discours du maire, du préfet et surtout de Michel Reynaud, président du CTNE (Comité Traite Négrière Esclavage). Son intervention l’an passé n’avait guère plu aux autorités, un peu trop engagée à leur goût.