Ramener la coupe à la maison
(Fautes d’orthographe non corrigées ) « Quand on pense que le postillon ce dit anticapitaliste, du moins je crois, et qu il ce permet de coller ces affiches publicitaire a outrance n importe ou. Pourquoi la ville de grenoble n envoie pas l’addition au postillon pour enlever les affiches qu il colle ? Pourtant il est bien stipuler que les affichage sauvages sont interdit et sanctionner, et que c est a l auteur ou la societe en question de prendre en charge les frais de decollage et nettoyage de ceux ci. Si je ne me trompe pas en plus de cela il devrais recevoir une amende ? Comment ce journal peut t il encore exister legalement alors qu il devrais crouler sous les dettes avec ces affichage publicitaire sauvage. »
C’est Damien qui a écrit ce message plein d’amour en commentaire d’un article sur Grenoble le changement. Le blog carignoniste a publié le 14 mai son 426ème article sur la « pollution visuelle » à Grenoble pour fustiger l’affichage sauvage et « la saleté, les tags, les immondices et la dégradation des façades d’immeubles et d’équipements publics ». Pour cette cuvée, le rédacteur nous met particulièrement à l’honneur avec pas moins de onze photos de nos affiches posées sur des murs et ce discernement glorieux : « le journal satyrique (1) Le Postillon fait partie des premiers pollueurs visuels de la ville ! » Mais que fait la police municipale ? Trop occupée à décoller les autocollants de Carignon ?
(1) Rappelons que « satyrique » fait référence à des postures indécentes ou à une divinité mythologique, quand « satirique » évoque bien une critique moqueuse.