Nongirac 2020
En mai, on va fêter un gros cinquantenaire : la fin de la carrière de journaliste d’Alain Carignon. Connu par la suite pour une brillante carrière dans la corruption municipale, le jeune Carignon, 19 ans en 1968, écrivait pour l’Essor de l’Isère, un hebdomadaire catholique. C’est même lui qui « couvrait » les manifestations de mai 1968, tout en étant par ailleurs responsable de l’Union des jeunes pour le progrès, les jeunes gaullistes. Si certaines articles étaient marqués de son vrai patronyme, d’autres avaient pour signature « Nongirac ». Lu à l’envers, ça donne.... Carignon. Alors que le repris de justesse tente un énième retour pour les municipales de 2020, le cabinet de consulting du Postillon ne peut que lui conseiller de reprendre son pseudo : peut-être que ça pourra tromper quelques gogos.