Actualités

  • Un nouveau hors-série : STMicro, gros dégâts des eaux

    Suite à quelques demandes, nous avons publié pour la manif « De l’eau, pas des puces » du 1er avril dernier un recueil de tous nos articles autour de STMicro & l’eau. Après un premier tirage épuisé, de nouveaux exemplaires, augmentés par quelques articles parus dans ce numéro, seront disponibles début juin. Ce livret de 36 pages est idéal pour faire réfléchir votre cousine salariée à STMicro ou votre voisin défendant mordicus l’industrie de la microélectronique... Disponible pour quatre euros frais de port compris en nous envoyant votre règlement (en liquide ou en chèque) à Le Postillon, 42 avenue Jean Jaurès, 38600 Fontaine. Réductions largement possibles, notamment pour des commandes groupées.

Derniers articles en ligne

  • Ohé, ohé, territoires abandonnés

    Sangliers. C’est le titre du dernier livre d’Aurélien Delsaux, un ex-prof du lycée de la Côte-Saint-André. Il s’agit d’une fresque sociale suivant pendant cinq ans la vie d’un hameau imaginaire d’un pays qui ressemble beaucoup à la plaine de la Bièvre. Une fiction littéraire très inspirée de la réalité qu’observe l’auteur, qui en dit beaucoup plus sur ce genre d’endroits et sur certains enjeux de l’époque que nombre de travaux journalistiques. Petite discussion avec Aurélien Delsaux.

  • Edito & autre édito

    Pour cet édito innovant, nous laissons la parole à Denis Bonzy, président du Club 20, ancien directeur de cabinet du maire Carignon, ancien maire de Saint-Paul-de-Varces, ancien candidat à la municipalité grenobloise en 2014. Le 1er décembre, on pouvait trouver cet étonnant billet sur son blog (denisbonzy.com). Avouons que nous sommes un peu gênés : on a l’impression de se faire draguer lourdement et on ne sait pas trop comment réagir.

  • Le modèle russe

    Effusion démocratique à l’Université Grenoble-Alpes (UGA). Lise Dumasy démissionne de la présidence de l’UGA pour devenir présidente de la Comue (communauté université Grenoble-Alpes). Pendant ce temps Patrick Levy, démissionne de la présidence de la Comue pour devenir président de l’UGA. Le fameux modèle russe.

  • Eybens : attention au cumul philosophique !

    Tout change très vite à Eybens. En septembre 2017, la majorité municipale du rassemblement de gauche et écologiste pond un pavé de 31 pages pour s’enorgueillir de son « bilan de mi-mandat ». Parmi les actes célébrant ses « trois ans de transition », les élus se félicitent de ne pas cumuler les mandats.

  • La noix connectée : Motion Recall

    C’était censé être le nouveau bijou grenoblois. Rendez-vous compte : « l’ultraréalité virtuelle, la technologie sur laquelle s’appuie Motion Recall, est issue de 10 ans de recherche au sein du CEA Grenoble ». Alors les journaux et les élus s’émerveillaient qu’elle puisse « exister sur un marché convoité par Google et Microsoft ».

  • Piolle en campagne

    Avec deux ans d’avance, voilà l’équipe municipale grenobloise qui repart en campagne. Et ce n’est pas vraiment discret : les années précédentes, il n’y avait qu’une cérémonie des vœux à l’hôtel de ville de Grenoble. Cette année, il y en a eu six, une dans chaque secteur, en plus d’une grande soirée « spéciale 50 ans des Jeux olympiques » au Palais des sports. Et puis il y a la communication, où Éric Piolle tente tous les coups, même les plus foireux.

  • Wauquiez est-il plus objectif que Ferrari ?

    Début janvier, France 3 devait diffuser une série de cinq reportages autour de la personnalité du président de la Région Laurent Wauquiez. Mais au bout du second, et suite à un coup de fil du cabinet de Wauquiez, les trois derniers ont été déprogrammés (avant d’être reprogrammés plus tard suite aux prostestations). Censure ? Pressions ? Pas du tout, répond André Faucon.

  • Télégrenoble, le vrai journalisme objectif

    À propos d’objectivité, on devrait certainement s’inspirer de Télégrenoble, experte en la matière. On sait depuis longtemps que ses présentateurs sont les rois des « ménages », ce mélange de genres où des journalistes bossent pour des privés ou des institutions publiques.

  • Qui tue les commerces de proximité ?

    Pour la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), la fermeture aux voitures de certains axes du centre ville grenoblois va entraîner « le plus grand plan social grenoblois » avec « 5 000 emplois menacés » dans les fameux « commerces de proximité ». Une position étonnante de la part d’une institution qui n’a jamais rien dit contre l’extension perpétuelle des centres commerciaux à l’extérieur des villes, qui ont tué bien plus de commerces de proximité que deux pauvres « autoroutes à vélo ». Et surtout de la part d’une institution qui se réjouit tous les jours des succès des entreprises d’e-commerce grenobloises.

  • Nos poubelles pleines de Kafka ?

    La Métropole grenobloise veut installer des poubelles intelligentes et une police de l’environnement. Ces mesures flattent le portefeuille et l’égo des « bons » écocitoyens, mais ouvrent la porte à plein de situations kafkaïennes à propos de nos poubelles. Pendant ce temps-là, les industriels continuent à pondre des produits jetables, puis à s’enrichir dans la « valorisation » des déchets.

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